« Nous nous battons, nous sommes sur le pied de guerre. » Au QG de campagne de Dominique de Villepin, jeudi 15 mars, on s’active. Il faut décrocher au plus vite les 500 parrainages nécessaires pour pouvoir concourir à l’élection présidentielle. « On arrive à avoir entre une et deux signatures par heures. » Le militant de République solidaire qui s’occupe du standard souffle enfin. Ce matin, le téléphone fixe du QG est tombé en rade pendant 2h.
« C’était juste un problème technique, aucun complot en vue. » Contacté par « Le Nouvel Observateur », Maguy Peltier, chargée des relations avec la presse, précise que « maintenant tout est rentré dans l’ordre ». Pour la chasse aux parrainages, Maguy Peltier se veut rassurante. « Mais bon, on a aucun aperçu global de la situation. On doit attendre ce soir que le Conseil constitutionnel nous fasse un point, vers 19h30, sur le nombre de signatures que nous avons reçu. » D’ailleurs, Dominique de Villepin sera ce soir sur France 2. Le candidat de République solidaire confirmera, ou non, s’il est toujours en course pour l’élection présidentielle.
Source: Nouvelobs.fr
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Panne de téléphones au QG de Villepin
Le QG du candidat Dominique de Villepin a été victime d’une panne de téléphones aujourd’hui alors que les militants s’activaient pour décrocher les derniers parrainages pour leur champion, mais la direction de campagne du candidat minimise l’incident évoquant « un simple problème technique ».
« Ne soyons pas paranoïaque, il s’agit d’un simple problème technique », a assuré à l’AFP Brigitte Girardin, directrice de campagne de Villepin. « Ce problème n’a duré qu’une demi heure et a rapidement été corrigé. Cela n’a en rien ralenti nos appels puisque nous avons tous un portable », a assuré dans un communiqué le service de presse du candidat.
L’incident a été largement commenté sur twitter et Internet où on s’interrogeait sur un éventuel acte de malveillance à deux jours de la clôture du recueil des parrainages pour la présidentielle.
Hier, l’ancien premier ministre expliquait sur son blog vouloir « garder l’espoir »: « Je veux garder l’espoir de l’emporter parce qu’en politique espérer est un devoir et une force ». La veille, il avait indiqué disposé de 460 signatures tout en reconnaissant que la collecte n’était pas aisée. Dominique de Villepin devrait s’exprimer sur ses parrainages ce soir dans le journal de 20h de France 2 dont il est l’invité.
Source: Agence France Presse
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Au QG de Villepin, à la recherche des derniers parrainages
A la veille de la date limite du dépôt des 500 signatures, les militants de l’ex-Premier ministre, continuent d’appeler les maires. Une course contre la montre.
L’appel à la mobilisation des villepinistes est tombé sur Twitter, à la mi-journée. Trahissant un léger vent de panique.
Deux heures plus tard, sur les deux open-space du QG de Dominique de Villepin, dans le VIe arrondissement de Paris, les lignes sont rétablies et la vingtaine de militants appellent les maires à tour de bras pour arracher les dernières signatures.
A la veille de la date-limite de dépôt des parrainages, et à quelques heures du passage du candidat au JT de France 2, «on s’accroche» et on se concentre. Chacun a sa liste de coordonnées d’élus par département qu’il annote, raye, stabilote. Un mug de café à portée de main.
Des coups de fil, on entend des bribes. «On est dans une situation d’urgence, il nous manque encore quelques parrainages.» «Tous les inconnus ont eu leurs 500 signatures et pas lui, un ancien Premier ministre.» «Vous feriez un geste historique.» «Bonjour, je vous appelle de la part de Jean-Pierre Grand». Se présenter comme venant du député de l’Hérault et fidèle de Villepin, c’est un tuyau pour passer le «filtre de la secrétaire de mairie», glisse Leila, professeur qui passe ses heures libres au QG pour superviser les dernières séances de phoning. Son téléphone toujours à côté d’elle au cas où un élu la rappelle, elle forme les militants pour convaincre les édiles de signer.
Sous les yeux des volontaires, un argumentaire pour avoir réponse à toutes les objections des maires récalcitrants. On en appelle à leur «esprit républicain», explique Leila, et «on insiste sur la légitimité de Dominique de Villepin, ses 25 ans au service de la France, sa stature internationale». A ceux qui se déclarent «sans étiquette», elle réplique: «lui-même est gaulliste, il est au-dessus des clivages.»
«Je suis une machine!»
A J-1, Leila croit sentir un «léger frémissement, certains maires attendant le dernier moment pour éventuellement parrainer.» Pour Brigitte Girardin, la directrice de campagne, les signatures rentrent à nouveau au compte-goutte mais «c’est extraordinairement difficile». Elle a bien un appel chaque soir du Conseil constitutionnel qui décompte le nombre de parrainages reçus directement rue Cambon mais «sans le détail précis des noms», elle ne sait pas exactement à quoi le chiffre correspond – 460 selon une estimation datant de mardi soir. De son côté, elle garde aussi un certain nombre de parrainages stockés en lieu sûr qui seront déposés chez les Sages vendredi.
L’ancienne ministre de l’Outremer est justement chargée d’appeler «le Pacifique la nuit, les Antilles l’après-midi et la Réunion toute la journée». Elle observe «une situation très verrouillée»: «Un élu UMP qui donne une promesse de signature se fait rappeler par son parti, un « sans étiquette » a peur pour ses subventions ou ne veut pas que son nom apparaisse dans le journal local.»
Très fière, Justine, plasticienne, a décroché deux parrainages de Charente, ce matin. Comme le temps presse, ils ne seront pas envoyés par la poste mais récupérés en main propre par des adhérents qui prendront le train pour les acheminer jusqu’à Paris. Justine, qui démarche les maires depuis deux-trois semaines au téléphone, s’accorde à peine une pause: «je suis une machine!»
«Je me suis fait doubler par Corinne Lepage»
Hugo, lui, a, eu moins de chance. Recruté la veille pour du phoning, il a fait le compte: 300 coups de fil, 66 refus, un «hésitant», mais pas un «oui». «Un maire aurait pu accepter mais je suis arrivé trop tard, il avait déjà donné son parrainage, je me suis fait doubler par Corinne Lepage [dernière candidate avec Villepin, encore sous la barre des 500, ndlr]. A trois heures près…» Adhérent du mouvement République solidaire depuis un an et étudiant en deuxième année de médecine, il a séché un cours sur l’hémoglobine pour venir en renfort de 9h à 21h30: «On avait plus besoin de moi ici.» «Beaucoup de maires nous disent « désolé ». Mais ils invoquent leurs électeurs, leur conseil municipal ou la communauté de communes», se désole-t-il.
«Certains me disent « bonne chance » même s’ils ne signent pas pour nous, raconte aussi Françoise, prof d’histoire, chargée de contacter l’Oise. Beaucoup sont surtout écoeurés par la politique nationale.»
Ce soir, ils seront une trentaine au QG à écouter leur candidat au JT. Que va-t-il annoncer? Girardin reste discrète: «Il va dire des choses très claires mais, vous savez, il est imprévisible…» «Il ne nous livre pas ses états d’âme mais je crois qu’il va dire qu’il continue, jusqu’au bout», espère Françoise, qui a voté à gauche aux précédentes élections. Si jamais, malgré tout, Villepin n’était pas qualifié, Hugo envisage de voter blanc: «c’est le seul candidat qui me parle, personne d’autre ne me correspond.»
Source: Libération
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Les villepinistes mobilisés jusqu’au bout
Petit moment de panique au siège de campagne de Dominique de Villepin, jeudi en début d’après-midi. Les précieuses lignes téléphoniques sont en rade. Délicat, alors que la vingtaine de permanents s’escrime – jour et nuit – à décrocher les dernières signatures qui manquent à l’ancien premier ministre pour entrer dans la course à la présidentielle. L’alerte est lancée sur le compte Twitter de l’équipe de campagne: «Venez au QG, avec vos portables, aider à la récolte des derniers parrainages ; le téléphone fixe ne fonctionne plus», prévient @VillepinStaff. Deux heures plus tard, les communications sont rétablies. Et la collecte se poursuit.
Au siège, on multiplie les allers-retours. «Une de mes collègues revient juste de la gare de Lyon où elle est allée chercher un parrainage», raconte Jacques Bracciali, responsable départemental de République solidaire dans le Val-d’Oise, qui est sur le pont depuis plusieurs mois. Et on note précieusement les rendez-vous téléphoniques à venir. «Un maire de Champagne-Ardenne a demandé encore quelques heures de réflexion, explique Bracciali. On le rappelle demain matin et on prévoit une voiture pour ramener le document à Paris avant 18 heures, si finalement il nous donne son feu vert.» Via les réseaux sociaux, les villepinistes se serrent les coudes et font part de l’avancée de leur travail.
David Verneyre, responsable jeune de République solidaire dans le Puy-de-Dôme, remporte une – petite – victoire: «Un parrainage de plus, peut-être 2 autres dans la journée, qu’il faut aller chercher et ramener à Paris, 1300 km. Quand on aime…»
«Un peu le système D»
Dominique de Villepin l’avait annoncé bien avant son entrée officielle dans la compétition. Sa campagne, il comptait la mener en s’appuyant sur des bénévoles motivés, les nouvelles technologies «et beaucoup d’astuce». Seule exception pour le siège: 20 .00 euros par mois pour les 400 mètres carrés de son QG, rue du Cherche-Midi, soit le double de ce que paie Marine Le Pen ou Jean-Luc Mélenchon. Mais, pour sa «campagne modeste», l’ancien premier ministre avait lui-même estimé un budget global «entre 1 et 3 millions d’euros». Bien loin du plafond de près de 17 millions qu’atteindront le Parti socialiste ou l’UMP d’ici au premier tour.
«Alors c’est un peu le système D», concède un membre de l’équipe. Sur Twitter, les comptes des élus sont arrosés de messages pour les sensibiliser au «devoir républicain» du parrainage. Un moteur de recherche est même disponible pour aider les soutiens à interpeller personnellement leurs élus locaux.
La campagne à l’économie a cependant ses limites. Pour solliciter leur soutien, Dominique de Villepin a adressé un e-mail début janvier aux 47.000 élus de France susceptibles d’accorder leur parrainage. «Moi, je n’ai rien reçu et j’ai posé la question autour de moi: personne n’avait été sollicité pour apporter son parrainage à Villepin», explique un parlementaire UMP qui a reçu des courriers – par La Poste – de François Hollande, François Bayrou, Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon et Corinne Lepage.
Source: Le Figaro
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Villepin jusqu’au bout
Villepin n’a pas encore ses 500 signatures. Ça presse. La date limite pour les déposer au Conseil constitutionnel est fixée à vendredi 18 heures. Jusqu’au bout, ses équipes se battent. « C’est le branle-bas de combat » affirme sa directrice de campagne, la fidèle Brigitte Girardin. « On se bat. Il nous reste 48 heures ».
Au dernier pointage, l’ex-premier ministre avait 460 parrainages de maires. Mais depuis combien ? « Il en manque encore », élude Girardin, qui ne perd pas une minute : « Je vous laisse, j’ai un appel urgent à passer en Nouvelle Calédonie ». La petite équipe Villepin mise notamment sur l’Outre-mer pour trouver les paraphes manquant. Et pas seulement. Les signatures viennent « un tiers d’élus des collectivités d’Outre-mer, un tiers d’élus des banlieues, un tiers d’élus de la France rurale. France lointaine, France en difficulté, France oubliée », explique Dominique de Villepin sur son site Internet.
« Je veux garder l’espoir de l’emporter, parce qu’en politique espérer est un devoir et une force », lance l’ancien premier ministre. En toute humilité, il ajoute : « Le premier tour pourrait être privé de pensée, privé d’idées, mais perclus d’images, et gavé de mises en scène médiatiques. Je sais bien que pour les cyniques, il vaut mieux que les Français applaudissent à un spectacle plutôt qu’ils ne réfléchissent à la véritable dimension de la crise que nous traversons, et aux solutions possibles ». Il termine : « Ceux qui me soutiennent ont compris que le réel risquait de déserter le premier tour ». Le réel, c’est aussi pour Villepin ne pas se rallier à Nicolas Sarkozy. Il le dit et le répète à qui veut l’entendre. Les crocs de boucher, ça laisse des traces.
Source: Public Sénat
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La campagne de Dominique de Villepin, objet politique non identifié
Difficile de qualifier la campagne de Dominique de Villepin depuis l’annonce de sa candidature, le dimanche 11 décembre 2011. Bien présent dans les médias, le télégénique ex-Premier ministre n’a pas franchement multiplié les déplacements de terrain. Et il n’a organisé aucun meeting. Piliers de sa stratégie, ses comités locaux se sentent abandonnés. Retour sur une drôle de campagne.
Une déclaration qui surprend jusqu’à son propre camp
Jusqu’en décembre dernier, ses proches et les cadres de son mouvement, République solidaire, laissaient entendre qu’il ne serait pas candidat. Des sondages qui ne dépassent jamais 2% d’intentions de vote, des soutiens rares, une course aux parrainages compliquée et des moyens limités… Qu’à cela ne tienne, Dominique de Villepin annonce qu’il se lance dans la course à l’Elysée au 20 heures de TF1. « Il faudra voir en mars prochain où il est dans les sondages », indique d’emblée Marc Bernier, le secrétaire général du parti.
Une organisation chaotique
Qui dit candidat dit QG. Dominique de Villepin installe le sien dans la précipitation, un mois après sa déclaration. Coup de chance, c’est pile le jour où la note française est dégradée par l’agence de notation Standard & Poor’s. Conviées, les caméras ne s’attardent pas sur l’organisation du QG, et relaient largement le discours de Dominique de Villepin, qui entend ne pas laisser la France être »humiliée par la loi des marchés qui impose de plus en plus d’austérité ».
Parce qu’il est bon client entre déclarations grandiloquentes et attaques contre Nicolas Sarkozy, Dominique de Villepin fait alors le tour des émissions politiques. « Ah ça, il les aura toutes faites, sauf le 20 heures de France 2″, s’enorgueillit un membre de son équipe juste avant que son champion ne soit l’invité du journal de la chaîne publique.
Pour le reste, l’ancien Premier ministre a chargé des responsables fédéraux d’aller chercher des sympathisants et de manifester « par [leur] engagement au quotidien la vérité que la politique peut encore changer les choses ». Finalement, ils n’ont pas de feuilles de route et les contacts avec le QG de Paris sont difficiles. Ils se sentent laissés à l’abandon, voire « bernés ». Le responsable fédéral d’Indre-et-Loire a même claqué la porte mi-mars et s’est confié à France Info.
Dernier couac, le téléphone coupé à 24 heures du dépôt définitif des parrainages d’élus comme le raconte l’Express.fr. Sur son compte twitter le staff de campagne appelle les volontaires à venir au QG avec leurs portables.
Un message à contre-courant
Il faut dire que le message de Dominique de Villepin est difficile à porter en campagne électorale. « Il plaide pour le rassemblement et l’union nationale de toutes les forces », explique un de ses conseillers politiques, alors même que « les partis pèsent de toutes leurs forces » dans une présidentielle.
Le deuxième axe ? Une réforme en profondeur des institutions, « un sursaut de la même ampleur qu’en 1944″. Compliqué quand, à l’inverse, « une campagne, c’est une mesure promise à chaque catégorie d’électeurs ».
Dernier défi : plaider pour « une ouverture sur le monde et l’Europe », alors que la tendance est « à être en vase clos et sous cloche, comme si seule la France existait », regrette-t-il.
Une stratégie qui snobe les classiques du genre
Excepté le Salon de l’agriculture, à Paris, où il s’est rendu le 12 mars 2012, l’ex-Premier ministre a soigneusement évité les étapes clés de la campagne. Il n’est apparu dans aucun meeting, par exemple. Alors que, pour tous les candidats, les réunions publiques sont devenues des moments incontournables, Dominique de Villepin n’en organise pas une seule. « C’est une question de moyens ! rétorque Jean-Pierre Grand, président de République solidaire, qui se désole : Il a un programme, une expérience et c’est un homme d’Etat, il ne lui manque que l’argent et les signatures ! »
Le candidat Villepin s’est aussi économisé en déplacements. Une douzaine en trois mois, loin derrière les voyages tous azimuts des candidats PS et UMP, mais aussi de ceux de « petits » prétendants à l’Elysée, comme Nathalie Arthaud (Lutte ouvrière), dont l’agenda est surchargé. « A l’inverse de tous ceux qui couraient au chevet des usines qui ferment, on a voulu privilégier ce qui marche, les PME dynamiques, la fabrication française de qualité », explique-t-on au QG.
Des interventions imprévisibles
Du coup, Dominique de Villepin va d’une ferme bio dans l’Aisne à des ateliers d’artisanat d’exception à Périgueux et à Dijon, mais le candidat a l’air de flotter parmi les Français qu’il rencontre. Quand il ne reste pas debout sous la pluie « parce qu’on ne pouvait accéder nulle part », se « souvient bien » un membre de son équipe, faisant référence à un déplacement à Pont-Sainte-Maxence (Oise) sur le thème de la sécurité.
« Lui n’a rien à perdre, expliquait au journal Le Monde Jean-Michel Jardry, responsable de la Dordogne, tout en reconnaissant que « la démarche est originale, (…) un peu extraterrestre. » C’est pourquoi, à quelques heures de l’interview de Dominique de Villepin dans le JT de France 2, ce jeudi soir, son QG est sens dessus-dessous pour compter les parrainages, alors que personne ne sait bien s’il jettera l’éponge ou continuera coûte que coûte, comme il ne cesse de le répéter.
Source: France Télévisions
Hugo , Marius , même combat … Pour moi comme pour tant d’autres n’en doutons pas , il est le seul que je veux voir Président et ce même avant 2007 .
Depuis cette époque et pas un jour à lui faire défaut , écrivant ici chez Fred ou ailleurs sur un blog ami , pour moi il n’y en a toujours eu qu’un … pour savoir parler aux Français … c’est Dominique de Villepin !
Il ferait beau voir qu’un Homme de cette stature ( il n’est nul question de taille ici ) ne puisse se présenter devant les électeurs !
A quelques minutes du coup d’envoi qui nous permettra de dérouler les banderoles , croisons les doigts et soyons immensément fiers de militer pour un Homme de cette qualité là … avec cette voix forte et déterminée qui nous a tant émus et rendu l’honneur d’être Français grâce à lui qui sut dire NON aux pays fussent-ils plus grands et amis … le reste sans lui ne serait que caquetage inaudible !
JE suis ce soir complètement abattue,il ya quelque chose de pourri dans ce pays,inimaginable!!! DDVc’est le seul crédible!et quand on entends ce petit président dire qu’il recevra les vrais travailleurs en parlant des arcelor mittal ,de qui se fout’il?c’est insultant!
Merci à Brigitte Girardin, merci à tous ceux et celles qui s’activent au QG, en province, dans les trains et sur les routes, pour rapporter des parrainages. Cette attente est tellement difficile pour nous tous…
Umpé !
Attends, attendez tous, vous verrez.. au fond du puit, comme ça tourne.
Sarkozy !
« Ah mon garçon » ou « vieux brigand » disait-on, « vieille canaille » de la chanson..
Colluseur, diviseur, gros mangeur de parts, frigo vide, deux pommes et trois bananes..
Attends, attends, attends la correction et le beau rideau qui va tomber..
M’obliger à voter Bayrou ?
Attends !
Bon. Il est 10H30.
Ce n’est pas encore 23H59.
Donc ce n’est pas encore sûr pour DDV.
( à moins que.. Les fonctionnaires finissent leur semaine à 11H30 les vendredis. On devrait travailler aussi les Samedis aux ministères !.. Et on devrait travailler surtout tous les Dimanches au conseil constitutionnel et aux parlements nous en avons tant..)