Dominique de Villepin s’est rendu vendredi après-midi au Salon de l’apprentissage et de l’alternance. L’occasion pour l’ancien Premier ministre de tester sa popularité auprès des jeunes.
Auparavant peu familiarisé avec les bains de foules et autres distributions de poignées de mains, Dominique de Villepin, dont c’est la première campagne électorale, semble petit à petit y prendre goût. Alors à la manière de son mentor, Jacques Chirac, l’ancien Premier ministre occupe le terrain.
Vendredi, c’est au Salon de l’apprentissage et de l’alternance, au Parc des Exposition de la Porte de Versailles, à Paris (XVe arr.), que le leader de République solidaire est allé à la rencontre des électeurs.
Arrivé vers 14h30, il y restera un peu moins de deux heures. Dans les allées du salon, entouré de quelques membres de son équipe et suivi par un petit groupe de journalistes, Dominique de Villepin est tout sourire. Il s’arrête à plusieurs reprises, salue certains exposants, s’attarde plus longuement avec d’autres.
Entre deux étapes, le candidat à l’élection présidentielle pose avec les hôtesses de l’École supérieure d’assurances ou avec de jeunes visiteurs tout agités par la visite de l’homme public. Une manière de renforcer son capital sympathie auprès de ces futurs électeurs.
Villepin à l’écoute
« J’ai appris la visite de Dominique de Villepin dans la matinée », déclare Didier Enfer, directeur des affaires sociales de la Fédération française du bâtiment-Grand Paris. Les deux hommes discutent quelques minutes devant le stand de l’organisation professionnelle. « Nous avons discuté de la manière dont nous essayons d’améliorer l’image de notre secteur et de l’importance de la formation des jeunes », indique-t-il en précisant que le prétendant à l’Élysée l’a attentivement écouté sans pour autant lui faire de proposition concrète.
Un peu plus loin, Nicolas Chorin, développeur de l’apprentissage au Centre Gustave Eiffel, nous apprend que l’ancien Premier ministre s’est arrêté quelques instants pour les saluer, avant de poursuivre sa tournée. « Nous ne nous sommes pas dit grand chose. Je crois qu’il est assez pressé ! ».
Idem sur le stand de Sup de V, une école de commerce, où Christine Rocheblave, responsable pédagogique, explique qu’« ils ont parlé de l’importance de l’apprentissage et, surtout, du premier emploi ». « Il est en campagne, il est à pour se montrer, c’est normal », ajoute-t-elle
Au pas de course
Dominique de Villepin passe ensuite plus de trois-quarts d’heure dans le carré VIP réservé aux exposants. Une partie des journalistes réussit à le suivre, tandis que les autres doivent patiemment attendre sa sortie.
Il s’y entretient longuement avec plusieurs responsables, avant de quitter au pas de course le salon, sans faire la moindre déclaration officielle à la presse.
Source: Philippe Peter (France Soir)
« ils ont parlé de l’importance de l’apprentissage et, surtout, du premier emploi ».
- Pour Travailler !
Et non faire ce que fait le premier des français, en France, Gérésticuler à sa façon. Et son seul souci, essayer de chaiser, de banquetter, deux fois.
Dans le fond..
Pourquoi travailler ?.. si la France perd toujours, et à chaque fois.
Et pour qui ?.. si c’est pour importer et donner l’argent à l’Etranger.
Tous, il faut nous former à la Finance.