Dominique de Villepin s’exprimera le mardi 13 décembre à 11h au Press Club de France.
« C’est quelqu’un qui se pose des questions. Il est réaliste sur sa situation qui est assez bloquée, mais il est aussi conscient d’être le seul à pouvoir porter son projet politique », résume le député Jean-Pierre Grand, président de République Solidaire.
« Il a à choisir entre lui et la France. Je souhaite de tout coeur qu’il choisira la France », conclut-il.
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La candidature présidentielle de Villepin de plus en plus compromise
La candidature présidentielle de Dominique de Villepin, qui doit faire connaître ses intentions à la mi-décembre, semble de plus en plus compromise même si ses derniers fidèles veulent y croire, en dépit des mauvais sondages et des signes de renoncement distillés par leur leader.
Fini le temps où l’ex-Premier ministre, entouré de députés gaullistes, frôlait les 10% dans les sondages et défiait son ennemi intime, Nicolas Sarkozy, à coup de phrases assassines ou dans un livre pamphlet « De l’esprit de cour ».
Abandonné aujourd’hui par presque tous ses soutiens parlementaires, dont certains ont rejoint Nicolas Sarkozy, au plus bas dans les sondages (1 à 2% d’intention de vote), Dominique de Villepin peut difficilement prétendre jouer les premiers rôles, à moins de cinq mois du premier tour.
Pas facile cependant de rendre son tablier quand on a pendant des mois dans les médias affirmé sa détermination à en découdre, mobilisé des milliers de militants dans un nouveau parti, République solidaire (RS), et présenté un projet politique pour 2012.
Finalement, ce sera le 13 décembre que l’homme du « non » français à la guerre en Irak fera savoir s’il sera ou non candidat en 2012. Pour beaucoup, l’affaire semble pliée.
« Ma conviction, c’est qu’il n’ira pas », dit l’ex-député villepiniste Jacques Le Guen. « Parce que faire 2%, c’est ridicule, il mérite mieux que cela. Et, ce serait dommage pour cet homme d’Etat de terminer République solidaire en République solitaire. »
« Il ne sera pas candidat », abonde un autre ex-villepiniste. « Il lui faut les 500 signatures et ce n’est pas facile. Pour le financement, RS n’a pas d’argent et il faut plus de 5% (des suffrages exprimés) pour être remboursé d’un crédit bancaire », explique-t-il.
Certains militants de RS, qui avaient rejoint Dominique de Villepin parce qu’il était l’opposant le plus farouche à Nicolas Sarkozy, ont assisté avec surprise aux retrouvailles des deux hommes à la Lanterne (résidence versaillaise du chef de l’Etat), même si l’ex-Premier ministre a assuré « ne pas avoir dealé » avec son rival.
« Ce sont des relations républicaines, apaisées. J’ai tourné la page de ce qui a été pour moi et ma famille un calvaire de six années », avait expliqué Dominique de Villepin, en référence au procès Clearstream dont il est sorti blanchi.
De là à imaginer un rapprochement politique entre les deux hommes?
« Le ralliement ne fait pas partie de mon tempérament. Je soutiens un principe, l’union nationale », a réagi l’ancien ministre. « Je ne veux pas d’un plat de lentilles », ni « d’un nouveau tour de manège », a-t-il également expliqué à propos d’éventuelles promesses de postes.
« Je ne le vois pas entrer dans un gouvernement, mais il pourrait accepter une fonction particulière, indépendante », estime l’un de ses ex-amis, en évoquant l’exemple de Dominique Strauss-Kahn au FMI.
Dominique de Villepin a affirmé à la fin novembre qu’il « souhaite vivement pouvoir aller vers les électeurs », mais sans préciser pour quel scrutin. « Il avait dit qu’il n’irait pas aux législatives. Alors bien sûr, vous pouvez envisager qu’il ira aux cantonales. Moi pas », a ironisé une responsable de RS.
« C’est quelqu’un qui se pose des questions. Il est réaliste sur sa situation qui est assez bloquée, mais il est aussi conscient d’être le seul à pouvoir porter son projet politique », résume le député Jean-Pierre Grand, président de RS. « Il a à choisir entre lui et la France. Je souhaite de tout coeur qu’il choisira la France », conclut-il.
Source: Agence France Presse
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« Les Carnets politiques » : Villepin rompra le silence le 13 décembre
"Les Carnets politiques" : Villepin rompra le… par rtl-fr
Ira, ira pas ? C’est lors d’une conférence de presse, le 13 décembre à Paris, que Dominique de Villepin dira s’il se lance dans la course à la Présidentielle. « DDV » est en ce moment en Chine dans le cadre de ses activités d’avocat. Avant de partir, il a réuni son dernier carré de fidèles. Et il les a laissés dans le flou… Ce vendredi, Alba Ventura a confié ses « Carnets » à Jérôme Florin.
Source: RTL
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2012: Villepin se prononcera le 13 décembre
L’ancien premier ministre Dominique de Villepin, fondateur du parti République solidaire, a annoncé le jeudi 1er décembre qu’il se prononcerait mardi 13 décembre sur ses intentions pour l’élection présidentielle.
Dominique de Villepin s’exprimera à 11h au Press club de France « pour évoquer les échéances de 2012″, a annoncé son service de presse dans un communiqué.
L’ancien premier ministre avait promis le 27 novembre qu’il dirait « mi-décembre » s’il est ou non candidat, en indiquant à la fois que « le ralliement » n’était pas dans sa « nature » mais que « l’union nationale » qu’il prône ne devait pas forcément se faire autour de lui.
A la fin de l’émission BFMTV2012/LePoint/RMC, dont il était l’invité, le leader gaulliste, qui n’a jamais été élu, avait déclaré qu’il voulait « aller vers les électeurs » en se présentant au suffrage universel, se gardant de préciser de quel scrutin il s’agissait (présidentielle, législatives ou autre). « Si j’ai eu certaines réticences par rapport à l’élection, c’est que j’ai observé que trop souvent, certains responsables politiques étaient obsédés, à peine élus, par leur réélection » alors que « moi, j’ai toujours été libre », avait-il confié. « Je souhaite vivement pouvoir aller vers les électeurs et pouvoir franchir ce cap (…) Je crois que c’est indispensable, je suis un démocrate », avait-il ajouté alors qu’il était relancé sur le sujet.
Un peu plus tôt, invité à dire s’il serait candidat à la présidentielle, Dominique de Villepin avait dit n’avoir « qu’une réponse à faire, c’est qu’(il) annoncerait (sa) décision à la mi-décembre ». « J’ai pensé que c’était une bonne date pour faire connaître cette décision », avait-il estimé en assurant qu’il « savait déjà » ce qu’il allait « dire ».
Source: Le Figaro
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A suivre…
Je regrette que DDV se déclare trop tôt, sauf si c’est pour dire qu’il se présentera à l’élection présidentielle de 2012. … Mais ? Les dés pourtant ne sont pas jetés, les “Récapitulatifs des sondages de popularité et d’approbation de l’action”, des différents sondeurs donnent à DDV: entre le 14 Octobre et le 26 Novembre 2011 une opinion positive qui varie de 31 à 46 %; ceci bien que DDV ne soit pas présent dans les médias.
http://www.sondages-en-france.fr/sondages/Popularité/Dominique%20de%20Villepin
Compte tenu des difficultés qu’a NS à travailler en équipe; que ce soit avec son gouvernement ou les gouvernements étrangers, ce n’est pas lui le plus qualifié pour résoudre les problèmes actuels, loin de là.
Le Grand discours de H. Guaino lu par NS aujourd’hui n’apporte pas grand chose d’autre que les inquiétudes d’un candidat aux présidentielles 2012; encore du vent.
DDV ne lâchez pas, vous êtes le seul capable d’animer cette équipe gagnante qui nous manque tant.
Une candidature de Dominique de Villepin est-elle indispensable ?
La réponse est 1000 fois OUI.
En effet, en conscience, il nous est totalement impossible de nous ranger derrière un homme comme Nicolas Sarkosy qui depuis 2007 qui a tant souillé notre drapeau national.
Quelques rappels :
1- Le discours de Dakar en 2007 où Nicolas Sarkosy fustigeait l’Homme Africain « qui n’est pas suffisamment entré dans l’Histoire ».
2- Le discours de Latran en 2007 où Nicolas Sarkosy en rencontrant le Pape Benoit XVI (en présence de Jean-Marie Bigard…) mettait en avant le concept de « laïcité positive» où « le curé est plus important que l’instituteur ».
3- L’humiliation de la France lors visite de Mouammar Kadhafi à l’automne 2007.
4- Le discours de Grenoble en juillet 2010 où Nicolas Sarkosy introduisait le concept de culpabilité collective (un acte de délinquance d’un ou de quelques « gens du voyage » entraine la culpabilité de l’ensemble des ROMS) et le concept de déchéance de nationalité pour les délinquants d’origine étrangère (un délinquant aurait alors été jugé en fonction de son origine, et non de son acte).
5- L’incapacité à comprendre les vrais enjeux du monde comme lors de la révolution Arabe du printemps 2011 où Michèle Alliot-Marie, alors Ministre des Affaires Etrangères proposait d’aider Zine Ben Ali à mater la révolution Tunisienne.
6- L’amateurisme et le ridicule de certains diplomates, comme celui de Boris Boyon, Ambassadeur de France en Tunisie.
7- La division des Français utilisée comme méthode de gouvernement : à chaque jour un bouc émissaire (les immigrés, les musulmans, les chômeurs, les fonctionnaires, les pauvres, les femmes qui osent prendre des congés maternité de plus de 5 jours, les malades qui sont obligatoirement des fraudeurs en puissance).
8- La mise en scène malsaine de sa vie privée.
9- Le démantèlement progressif et systématique de notre modèle social, hérité du Conseil National de la Résistance, sous l’égide du Général De Gaulle, alors que la crise de 2008 a montré la force de nos amortisseurs sociaux.
10- Sa soumission aux intérêts privés de l’oligarchie (la bande du Fouquest) au détriment de l’intérêt général.
11- Sa soumission aux diktats des marchés financiers (la réforme reculant l’âge légal de 60 à 62 ans a été prise sur ordre des agences de natation).
12- L’alignement de la Politique étrangère de la France sur celle des Etats-Unis, au détriment de notre indépendance qui depuis le Général De Gaulle a fait notre fierté, comme en 2003 où la France de Jacques Chirac et de Dominique de Villepin refusait l’inacceptable en Irak.
13- L’abime qui existe entre ses discours sur la régulation économique et de sa soit disant « action sur la scène internationale » là où pour l’essentiel, il n’y a que de la gesticulation) et la réalité de sa politique néolibérale.
14- L’incapacité à faire un discours sans faute de Français, ce qui est grave à un tel niveau de responsabilité.
15- L’augmentation vertigineuse des déficits publics et de la dette, dont la crise n’explique que 50% d’après la cour des comptes, faisant porter le poids du remboursement sur les générations futures. Pour résumer la politique de Nicolas Sarkosy, on peut dire qu’il s’agit de la politique de Georges Bush (junior) avec le ridicule de Silvio Berlusconi et l’autoritarisme de Vladimir Poutine.
Cette liste non exhaustive constitue un bloc de dérives inacceptables dénoncées en son temps avec (talent par Dominique de Villepin. Il suffit pour cela de réécouter ses discours (La Halle Freyssinet du 19 juin 2010, La Maison de l’Amérique Latine le 19 juin 2011 etc…) ou relire son livre « L’esprit de cour, une malédiction Française » paru en octobre 2010.
A cette liste, il faut rajouter depuis 2007 la dérive institutionnelle avec la concentration de tous les pouvoirs dans les mains du Président de la République.
Le Gouvernement Fillon est inexistant.
Le Parlement est sans cesse piétiné. De ce point de vue, la majorité de Gauche du Sénat fait le plus grand bien à la démocratie.
Les média sont aux ordres (amis du Président pour les média privés, et du Président lui-même pour les média publics).
La Justice est bafouée : utilisée contre ses opposants si nécessaire (cf Clearstream) et muselée dès que les amis du Présidents sont inquiétés (cf Karachigate, Affaire Bettancourt-Woerth etc…).
Dans n’importe quel autre pays, lorsqu’il y a une telle concentration de pouvoir dans les mains d’un seul homme, on parle de dictature, ou au moins, de système autoritaire ou autocratique. En France, on parle « d’hyper présidence »… La langue Française est riche !
Qu’est ce qui aujourd’hui justifierait que notre combat soit vain ?
Nicolas Sarkosy a-t-il changé ?
Evidement NON ! La désignation de boucs émissaires continue de plus belle.
Aujourd’hui, ce sont les malades qui sont tous des fraudeurs en puissance, alors que les vrais fraudeurs ne sont pas inquiétés (il est vrai que pour les puissants, on ne parle pas de « fraude », mais « d’optimisation fiscale »…).
Sa vie privée est toujours magnifiée par des média serviles (Le Figaro par ex).
L’injustice sociale est toujours le socle de sa politique.
La gabegie des finances publiques continue, malgré les discours officiels (cf coût du G20 à Cannes en novembre 2011 et les nuits d’Hôtel à 37 000 €).
La division stérile continue. La convention de l’UMP pour dénoncer le programme socialiste, suite au succès des primaires citoyennes, organisées par le PS constitue à cet égard un monument de démagogie et de caricature indigne d’un mouvement politique, surtout quand ce mouvement a une telle part de responsabilité dans la faillite morale et financière de la France depuis 2007.
A un moment ou le Peuple Français ne semble pas vouloir un duel Sarkosy / Hollande, ne pas offrir une alternative REPUBLICAINE, c’est offrir un boulevard à Marine Le Pen qui serait alors la seule solution qui resterait aux Français de dire « merde » au sytème.
Un Gaulliste ne peut pas renoncer.
Alors, Monsieur le Premier Ministre, allez y. Soyez assuré de notre plein et entier soutien.
Vibrant plaidoyer de Michel… mais je ne crois pas que cela suffise, DDV n’aboie plus pour dénoncer les dérives (…)
Le Peuple Français est représenté démocratiquement par l’Assemblée Nationale, nos députés sont là pour légiférer et contrôler l’action du gouvernement.
Dans un contexte aussi grave que celui que nous vivons depuis plus de 3 ans aucune action commune (de gauche à droite) n’a été menée.
Dominique de Villepin député pourrait-il créer un groupe de coalition républicaine et sortir les politiques de leur clivage gauche/droite ?
Si je pose cette question c’est tout simplement pour repositionner le peuple français seul décisionnaire de son destin.
Il est fort de constater que le peuple français n’a plus son destin en mains, et que le jeu partisan de nos députés sans parler des menaces qui pèsent sur leur investiture réduit à néant la démocratie.
Nos institutions ne jouent plus leurs rôles… vous comprendrez pourquoi l’électeur ne croit plus dans son bulletin de vote. Sans compter les bulletins versés dans l’urne qui ne sont plus des convictions mais qui deviennent contestation en votant contre tel ou tel.
Belle France, peuple de liberté vous qui avez mené révolutions et guerres il est temps de reprendre ce qui vous appartient : votre destin.
@ Michel
Oui, tout ça !.. La France, un pays remis sur les hauteurs par CDG, remis sur les rails, etc.. Mais surtout la Gabegie (vous auriez pu ajouter son fils Jean, placé à l’Epad, et son ministre de la culture & « voyages thaîlandais ». Et sans doute, d’autres hommes, d’autres bons mots)
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« On » a aussi vendu des Immeubles centenaires. La Gabegie de 33 ans. La Gabegie, c’est aucun respect pour les Français (d’hier et d’aujourd’hui) car c’est aucune Gestion de l’argent, de l’Or, du Trésor de la France, de notre Impôt, des taxes, de nos contributions, de notre sueur, de notre Travail, poussières avalées, maladies professionnelles, travail à la chaîne, accidents du travail, horaires de nuit ou encore plus décalés horaires qu’à mi-temps, pas de pause ou casse-croûte sur le pouce, CDD reconduits reconduits et puis cassés, le froid aussi aux bouts des doigts ou grosse chaleur aux champs ou dans les étables, sur les chantiers, sur les toits, sur les routes, dans les égouts, les fossés, etc..
- « On » a dilapidé en France pendant 33 ans !!! (hors période DDV Mi-2005 à 2007)
- Donc « on » a dilapidé en Europe !!! (d’autant plus que l’Allemagne était à sa réunification, elle en avait.. au moins.. pour.. cinquante ans.. riait-on..)
La France.
Si De Villepin va parler, c’est qu’il va annoncer !.. Il va ANNONCER.
Et je vous l’assure, ça ne sera pas une « non-demande en mariage ».
Vous avez vu Napoléon se défiler sur le champ de Bataille ?
Vous avez vu CDG « au salon, qui dit oui, qui dit non », un seul instant hésiter à Entreprendre, hésiter à Payer de sa Personne, un seul instant hésiter à lutter ?
(le pb est que tout ne se gagne pas à RTL, il faut en parcourir du chemin, des routes, des rues, des petits sentiers, à pied sous l’averse, la pluie ou la neige, il faut en serrer des mains, des mains, des mains les yeux dans les yeux.. et tout, de vive voix)
Très bien dit, Michel.
J’ajouterai simplement que les Français devront être bien informés et pas intoxiqués par des Médias à la botte de NS.
MICHEL comme vous avez raison! DDV est le seul crédible!!!!!!
Un président de la République se doit de s’adresser à tous les Français. Dominique de Villepin serait évidemment le mieux placé pour cela.. Maintenant, qu’il y ait des partis de droite et de gauche, cela me parait normal, chacun ayant un point de vue différent. Que les meilleurs, ceux ayant un esprit d’ouverture suffisant dans l’un ou l’autre, ou les autres, partis, que ceux là soient appelés pour gouverner, cela nous changerait des affrontements perpétuels handicapant la marche en avant. Et quelle richesse fructueuse dans ce gouvernement !
Philippe Brennetot, pour que nous, citoyens reprenions notre destin en mains, comment faire ? Peut-être, pour l’instant, que ceux étant d’accord pour un gouvernement d’union nationale le disent haut et fort ?
La candidature de DDV est indispensable par le contenu de son offre politique.
Combien d’électeurs en 2012 seront capables d’avoir encore en tête le résumé brillant
et très exact de Michel sur le quinquennat épouvantable de NS …….. et c’est bien là
le drame de la France et de ces votants sans mémoire ou qui ignorent les choses qui
alimentent le vote sans conviction.
Tout à fait Michel. Il y a quelques oublis (son fils placé, son ministre culture, etc..) Oui en tout, il a abaissé la France, la Fonction de Président aussi, la Parole du Pouvoir. On ne gardera de lui, hélas, que ces tics et ses bons-gros-mots aux micros.
Il faut dire aussi que la « gauche » n’est pas en reste dans la démagogie. Et personne, de l’UMP au PS, n’est en reste pour la Dette, la « croissance » belle, mais crédit sur crédit.
Il est l’Heure.
2012. Sarkozy ne sera plus écouté, c’est fini (même à dire le vrai). Il y aura Hollande, désengagé des roses et des verts, un peu gaulliste. Il y aura Bayrou, désengagé de tout, assez gaulliste. Il y aura DDV, engagé de toute son Âme pour son pays (s’il ne récolte pas, ne redécolle pas, il agira, il agira au mieux dès le premier tour pour la France). DDV va y aller car avec Sarkozy, il le sait, ce serait le bloquage, ce serait la division assurée. On ne pourrait pas Faire du grand ici en France, des réformes très importantes et très urgentes, une grande politique nationale pour rétablir le pays sur ses pieds, remettre la Balance en état, faire une austérité obligée mais partagée, du « raide » équitable, bref.. l’Effort.
DDV, c’est la présence, le verbe, l’action, le crédit au gouvernement, la vision, la réalité, la hauteur et la grandeur. DDV, c’est aussi l’Histoire fort bien retenue, toujours présente au coeur, celle qui doit former l’avenir.
Donc, ce qui sera bon pour la France sera bon pour tous les français. C’est là, dans cette formulation, que l’on distingue l’Homme Politique, l’Homme d’Etat. Un, passe avant deux. Toujours les français rechignent et grognent à la France, ils veulent le pays déjà fait, définitivement.. alors que.. le monde toune.
Sur tous les continents, toutes les nations veulent exister.
L’Histoire. Nous sommes entre deux guerres, c’est à dire en temps de Paix. C’est donc la Guerre Economique.
Les Hommes. Un jour, il faudra bien tout de même tous s’entendre sur la planète.. ou alors..
Le 13 décembre est le jour de la Sainte Lucie (de Lux, lucis qui signifie lumière), première journée où la nuit recule, journée consacrée à fêter la lumière dans de multiples traditions qui y voient la victoire du jour sur les ténèbres …. magnifique symbole et beau choix de date pour annoncer une candidature !
Dominique de Villepin et le jour du roseau
C’est le 13 décembre 2011 à 11 heures au Press Club de France que Dominique de Villepin officialisera sa position quant à sa candidature éventuelle à la présidentielle 2012.
C’est une date intéressante puisque, dans le calendrier républicain, cette date est le jour du roseau, symbole de ce qui ne rompt jamais, d’une apparence fragile mais d’une résistance à toutes les épreuves.
Fragilité, comme les sondages mais résistance comme l’éventuelle détermination implacable affichée comme naturelle dès 2009 ?
Au-delà de la date, trois constats méritent l’attention :
1) Un frémissement manifeste affecte les réseaux de Dominique de Villepin ces derniers jours. Longtemps très présent sur les réseaux sociaux, l’ancien Premier Ministre alimente actuellement de nouveau toutes les hypothèses sur ces supports. Leur mobilisation pour une éventuelle forte présence de militants au Press Club serait difficilement compatible avec une déclaration de non-candidature.
2) Le paysage de la présidentielle 2012 évolue rapidement et brutalement ces derniers jours pour tourner à une sorte de referendum sur le « combat contre la crise ». Ce contexte ne plaide pas pour une candidature de Dominique de Villepin qui pourrait affaiblir son « camp historique » face à un Front National très élevé et au moment où le candidat du PS voit ses intentions de votes fléchir chaque jour.
Le prix d’une division perçue pourrait être très élevé dans de telles circonstances cassant la dynamique positive qui impacte le « retour de Nicolas Sarkozy » ces dernières semaines.
3) A l’inverse de la considération précédente, le tournant de la présidentielle semble se produire sur le thème du « destin de France » : comment éviter que l’intégration européenne ne procède à une forme de dissolution de la « valeur ajoutée historique » de la France : son patrimoine de valeurs, ses messages républicains … ?
Par ailleurs, comment éviter qu’une éventuelle non-candidature ne disperse une part importante de son électorat vers des soutiens « atypiques » essentiellement animés par une forme d’anti-sarkozysme qui fut une partie non-négligeable du socle de son démarrage ?
Pour lire la suite, cliquez ici:
http://exprimeo.fr/article/7499/dominique-de-villepin-et-le-jour-du-roseau.htm
Les conditions ne sont pas réunies pour que DDV se présente car :
1/ la France n’est pas (complètement) dan sle cahos
2/ DDV n’a pas les soutiens nécessaires.
En effet, si DDV se moque du soutien « députés godillots », il est quand même fondamentalement légitimiste vis-à-vis des glorieux anciens que sont Chirac et Juppé. Or, Chirac a dit : « je vote Hollande sauf s’il y a Juppé » et Juppé a choisi de piloter la marionnette Sarkozy.
Donc DDV n’ira pas et sera prêt à figurer dans un gouvernement Juppé dans lequel il y aurait aussi Bayrou, Borloo, Védrine et peut-être Valls….
Mais qui sont ces serpents qui sifflent sur nos têtes ?
Exprimeo a écrit : « Ce contexte ne plaide pas pour une candidature de Dominique de Villepin qui pourrait affaiblir son «camp historique».
Il me semble que soit on parle «d’union nationale», soit on se soucie de faire gagner « son camp » aux élections.
Villepin aurait bien le droit de vouloir faire gagner une UMP ultrasarkoziste ou non, élargie ou non selon les besoins de cette »grande cause », mais il ne pourrait alors prétendre le faire au nom de l’union nationale.
Reconnaître la nécessité d’une union nationale, c’est affirmer qu’à cet instant de l’Histoire, le «camp historique» n’est pas le sien mais celui de la France de chacun. Cela n’implique pas de renoncer à sa propre sensibilité, et ne permet en rien de dénier aux autres le droit d’exprimer la leur.
A ce jour, à cet instant de l’Histoire, il y a apparemment en France beaucoup de volontés individuelles ayant des sensibilités et des profils bien différents et reconnaissant qu’il y a sans doute bien un «camp historique» autre que le parti pour lequel on vote habituellement. Cela signifie-t-il que l’UMP devra voter PS ou inversement? Ou que les deux se partageront le »gâteau » ? Non, c’est juste que la victoire «historique», est celle de la France et non celle d’un parti, ni même de deux, ni même de tous.
Villepin semble penser qu’à cet instant de l’Histoire, c’est tromper ou se tromper que de croire que la victoire d’un parti peut assurer la victoire de la France. Ce serait une victoire de politiciens mais en fait un leurre occultant une défaite «historique» pour la France.
DDV ira !
( sans doute.. pas longtemps.. si ça mord pas )
Lu sur Mediapart le scénario qui se dessine actuellement :
En parallèle de la stratégie «à droite toute» incarnée par Guéant, une autre trajectoire possible se dessine à droite: «l’union nationale». Défendue par les chiraquiens, qui y voient un moyen de revenir au cœur du dispositif, l’idée permettrait à Sarkozy de l’emporter en 2012 en jouant le président rassembleur dans la crise européenne. Un scénario dans lequel Bayrou pourrait s’insérer comme allié de second tour.
En fait …….. QUI a évoqué le premier l’union nationale que tous les politiques rabâchent
dorénavant à longueur de journée !!!! DDV
Preque toutes ses idées ont été reprises par les uns et les autres qui vont se rassembler
allègrement ……..ET LUI quel scénario lui reste t-il ?
SARKOZY aura bien profité de lui.
2012.
« Mediapart… une autre trajectoire possible.. permettrait.. Bayrou pourrait.. »
Eh bien.. pas beaucoup de sûr là-dedans, pas beaucoup de Futur dans tout ça.
2012.
Oui. La réalité. Elle sera. Elle sera seule dans l’isoloir. Ce sera du temps Présent cher Georges, et vous y verrez les électeurs voter cette année là. Et vous y verrez Sarkozy de s’entêter et puis enfin de buter contre une petite ou épaisse cloison.. un reliquat.. un résidu.
2012.
Le résidu est toujours résiduel. Comme le sucre lorsque l’on a atteint le max. de solubilité dans un liquide. Sarkozy n’est plus soluble ici. Il a attenit son max. en 2007. Sa toute présence, de lui, sur quelque liste que ce soit.. finirait à mobylette : 49,9.
Donc, qu’il se pousse un peu et laisse place à Monsieur De Villepin.
C’est.. vous savez sans doute.. qu’une Grande Oeuvre est à faire !
Le pire scénario serait que NS soit réélu en 2012. On ne peut même pas l’imaginer une seule seconde. Les Français doivent bien s’informer et ne pas retomber dans le piège de 2007. (Pour 53 pour cent d’entre eux)
Il va tout faire pour éliminer ses adversaires et se poser en « Sauveur du pays ».
ATTENTION !!
Ce soir François Bayrou est dans l’émission politique de France 2.
Il y aurait (soi disant) un « frémissement » en sa faveur. Mais on va débattre plus sur les jeux politiciens que sur le fond.
Le paysage de la Présidentielle évolue et personne ne peut dire ce qui va se passer dans les semaines qui viennent.
Une non candidature de DDV serait une très mauvaise nouvelle pour ce pays.
Je pense qu’il ira. Il fera ce qu’il pourra.
Dans moins de trois jours, Dominique de Villepin aura levé les ultimes mystères sur les raisons véritables de son aventure depuis 2009.
Lors de sa conférence de presse du 13 décembre, il officialisera sa position par rapport à la présidentielle 2012.
Pour une grande majorité de l’opinion, le suspens existe peu, voire même plus du tout. La « mode Villepin » est passée. Elle est retombée pendant le premier semestre 2011 quand l’ancien Premier Ministre cassait la logique de son positionnement initial.
Sa communication en 2009 avait introduit 4 repères neufs :
1ère nouveauté : le choix du terrain. C’est l’époque où l’ancien Premier Ministre choisit deux terrains : le « vrai » celui des terroirs ou, de façon emblématique, le marathon inattendu du Salon de l’Agriculture (7 heures de présence !) et le terrain du « virtuel » avec une présence sur Internet qui fut alors novatrice à maints égards.
2ème nouveauté : incarner « l’esprit rebelle » alors que la mode était aux clones du Président de la République au sein de sa majorité : mots et même les attitudes. Dominique de Villepin était alors le seul refuge pour ceux qui voulaient une « autre politique ».
3ème nouveauté : créer son propre espace politique : c’est la logique de la création de son parti politique : République Solidaire.
4ème nouveauté : vers un enjeu de tempéraments : Villepin cherche à incarner le « chiragaullisme » : un chiraquisme c’est à dire une sorte de radicalisme intérieur mélangé au gaullisme à l’extérieur au moins dans l’expression altière des positions de la France.
Mais ces quatre nouveautés ont subi l’érosion.
Les terrains (de la boue des fermes aux écrans des ordinateurs) ont été délaissés. Le dernier billet sur son blog personnel date du … 28 novembre 2011.
L’esprit rebelle s’est calmé.
L’espace politique a été peu entretenu.
Les tempéraments ont été moins clivés avec la présidentialisation de Nicolas Sarkozy par temps de crises sévères.
Bref, ces dernières données contribuent à accréditer l’idée d’une arrivée au port bien davantage que le choix de l’air du large.
Pour lire la suite, cliquez ici:
http://exprimeo.fr/article/7528/dominique-de-villepin-et-le-port-en-vue.htm
En général j’aime assez les articles de Monsieur D Bonzy mais là je ne suis pas d’accord.Tout d’abord Villepin n’est une mode et ce qui a plombé sa campagne c’est son second procès car pour le premier il avait réussi à en faire un levier.(et le travail de sape qui a été fait et qui continue)
Je me rappelle d’un truc que j’avais lu qu’aurait pu dire A Juppé (je tronque la phrase) « Villepin veut le monde ».
Je ne crois pas que Villepin veuille le monde ce qu’il souhaite comme A. Juppé et tout Homme politique qui se respecte croyant en son pays et ayant des convictions, c’est contribuer à « écrire » une partie de l’Histoire de France et continuer tel des passeurs à faire vivre une certaine idée de la France…
Alors c’est donc aujourd’hui que DDV va annoncer sa participation ou non à la présidentielle 2012.En tout cas j’ai regardé l’interview du député JP Grand il ne connaissait pas sa décision mais il n’avait pas l’air très optimiste.
Quand je vois comment les médias traitent cette présidentielle ça me déprime alors que cette élections est déterminante au vue du contexte.
F.Bayrou est devenu la nouvelle coqueluche j’ai regardé son émission « des paroles et des actes » que d’éloge… que d’éloges…, ça en deviendrait presque ridicule (et pourtant je n’ai rien contre Bayrou).Mais je peux comprendre car la concurrence est médiocre.
Bon pour ce soir peu importe s’il participe ou non à l’élection 2012, ce qu’il faudra écouter c’est la manière dont il va présenter les choses pour voir « s’il rentre réellement au port »…
Selon les dernières informations qui circulent à son sujet, on peut penser que l’on
assiste sans l’avoir souhaité à « la dernière séance de DDV »
Il nous vient tout de même à l’esprit que – le 27 octobre 2009, les visites en France durant l’année 2010, le rassemblement de RS du 19 juin 2011 – tout cela perd son sens au milieu d’une campagne électorale de plus en plus calamiteuse et envahie de candidats d’une médiocrité absolue, la France a perdu définitivement son image.