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Dominique de Villepin dénonce les "fariboles et les écrans de fumée" à quelques jours de la fin de l'affaire Clearstream

Dans le JDD dimanche, Robert Bourgi, désormais conseiller officieux pour l’Afrique de Nicolas Sarkozy, affirme avoir convoyé personnellement 10 millions de dollars à Dominique de Villepin pour financer la campagne présidentielle de 2002 de Jacques Chirac.

Dominique de Villepin réfute les propos de Robert Bourgi, affirmant qu’il s’agit de « fariboles » : « Tout cela n’est que fariboles et écran de fumée. Je n’ai jamais cessé, depuis 1993, de me mobiliser contre les réseaux de quelque nature que ce soit, en vue d’une moralisation de la vie politique dans le cadre fixé par Jacques Chirac », réplique l’ancien premier ministre.

Dominique de Villepin y voit au contraire un « mauvais coup », en lien avec la tenue du procès Clearstream et avec le jugement qui doit être rendu dans quatre jours. « On voit bien surtout les inquiétudes se lever à quelques jours du jugement dans l’affaire Clearstream ou encore l’évolution d’autres affaires comme Karachi », affirme-t-il.

De son côté, l’ancien Président Jacques Chirac a annoncé, dimanche en fin d’après-midi, son intention de porter plainte pour diffamation contre Robert Bourgi.

Robert Bourgi explique avoir « participé à plusieurs remises de mallettes (d’argent, ndlr) à Jacques Chirac, en personne  » en provenance de chefs d’Etat africains . Il évalue les remises d’argent effectuées par Jacques Foccart (décrit comme « l’homme de l’ombre de De Gaulle » par le JDD, ndlr) à « plusieurs dizaines de millions de francs par an ».

« En présence de Villepinte »

« J’ai été le porteur de valises de Chirac puis Villepin », révèle-t-il dans l’hebdomadaire. « Pendant 30 ans, Jacques Foccart a été en charge, entre autres choses, des transferts de fond entre les chefs d’État africains et Jacques Chirac. Moi-même, j’ai participé à plusieurs remises de mallettes à Jacques Chirac, en personne, à la mairie de Paris », déclare l’avocat.

A la question du JDD qui l’interroge sur le fait que ces remises se faisaient « directement », Robert Bourgi répond « oui ». Jacques Chirac « prenait le sac et se dirigeait vers le meuble vitré au fond de son bureau et rangeait lui-même les liasses. Il n’y avait jamais moins de 5 millions de francs », raconte l’avocat.

Interrogé sur Dominique de Villepin, l’avocat raconte : « Je me souviens de la première remise en présence de Villepin. L’argent venait du maréchal Mobutu, président du Zaïre. C’était en 1995. Il m’avait confié 10 millions de francs que Jacques Foccart est allé remettre à Chirac. En rentrant, le ‘Doyen’ m’avait dit que cela s’était passé « en présence de Villepinte », c’est comme cela qu’il appelait Villepin. Foccart ne l’a jamais apprécié… », raconte-t-il.

Il raconte également qu’ »à l’approche de la campagne présidentielle de 2002, Villepin m’a carrément demandé : la marche à suivre ». « Par mon intermédiaire, et dans son bureau, cinq chefs d’état africains -Abdoulaye Wade (Sénégal), Blaise Compaoré (Burkina Faso), Laurent Gbagbo (Côte d’Ivoire), Denis Sassou Nguesso (Congo-Brazzaville) et, bien sûr, Omar Bongo (Gabon) ont versé environ 10 millions de dollars pour cette campagne de 2002″, prétend l’avocat.

Robert Bourgi prend soin de préciser qu’il s’exprime en son « nom personnel ». L’avocat a accordé cet entretien au JDD peu avant la parution d’un livre de Pierre Péan, La République des mallettes, qui évoque également ses accusations.

Dans cet ouvrage, l’auteur rapporte la manière dont Robert Bourgi dit avoir été éconduit sans ménagement par Dominique de Villepin en 2005, ce qui l’aurait conduit à se rapprocher de Nicolas Sarkozy. Dans ce livre, Pierre Péan ajoute qu’il convient de prendre le témoignage de Bourgi « avec la plus grande prudence », notamment « parce que personne ne viendra le corroborer ».

« J’ai décidé de jeter ma tunique de Nessus, cet habit qui me porte malheur et que je n’ai jamais mérité », affirme-t-il dans le JDD.

Fariboles et écran de fumée

Dominique de Villepin réfute les propos de Robert Bourgi, affirmant qu’il s’agit de « fariboles » : « Tout cela n’est que fariboles et écran de fumée. Je n’ai jamais cessé, depuis 1993, de me mobiliser contre les réseaux de quelque nature que ce soit, en vue d’une moralisation de la vie politique dans le cadre fixé par Jacques Chirac », réplique l’ancien premier ministre.

Dominique de Villepin y voit au contraire un « mauvais coup », en lien avec la tenue du procès Clearstream et avec le jugement qui doit être rendu dans quatre jours. « On voit bien surtout les inquiétudes se lever à quelques jours du jugement dans l’affaire Clearstream ou encore l’évolution d’autres affaires comme Karachi », affirme-t-il.

Sources: Le Figaro et TF1

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Dominique de Villepin : « Tout cela n’est que fariboles »

Dominique de Villepin s’esclaffe. À entendre les accusations de Robert Bourgi, l’ancien Premier ministre confie : « J’ai une grande capacité à anticiper les mauvais coups. Vous ne me gâchez pas du tout la fin de mon après-midi. » À quatre jours du jugement en appel de l’affaire Clearstream, Villepin établit immédiatement un lien.

A-t-il touché de l’argent en espèces, comme l’accuse l’avocat de la Françafrique? « Tout cela n’est que fariboles et écrans de fumée. Je n’ai jamais cessé, depuis 1993, de me mobiliser contre les réseaux de quelque nature que ce soit, en vue d’une moralisation de la vie politique dans le cadre fixé par Jacques Chirac », martèle-t-il au téléphone. « On voit bien aujourd’hui combien ces actions dérangent », ajoute-t-il.

Il y voit la main de l’Élysée

Y voit-il une connexion avec le livre à charge écrit par Pierre Péan contre son ami, l’homme d’affaires Alexandre Djourhi? « Je n’en ai aucune idée. On voit bien surtout les inquiétudes se lever à quelques jours du jugement dans l’affaire Clearstream ou encore l’évolution d’autres affaires comme Karachi. »

Sans le dire, Villepin y voit la main de l’Élysée. Ce qui reste à prouver. Même si, entre Villepin et Sarkozy, la haine est tenace. Longtemps, le chef de l’État a rêvé de pendre à un « croc de boucher » son rival. Après la relaxe du premier procès Clearstream, le Président a jugé plus sage de mettre sa vengeance en sourdine et de se retirer d’une affaire qui ne lui valait que des mauvais coups.

Il a mesuré aussi qu’au fond Villepin n’avait plus les moyens de le gêner politiquement. Trop seul. Trop emporté. Trop orgueilleux pour se lancer dans une aventure présidentielle qui s’achèverait, selon le mot de Brice Hortefeux, entre « 1 et 2% ».

Difficile pourtant d’effacer quinze ans de haine pure. Car une guerre sans merci oppose Sarkozy à Villepin depuis le jour – en 1994 – où le premier est passé chez Édouard Balladur alors que le second est resté fidèle à Chirac. Depuis, tous les coups sont permis entre eux. Villepin ironise sur le « nabot ». Sarkozy tape sur le « grand con ». Leur haine a culminé avec l’affaire Clearstream. Laquelle sera jugée en appel… mercredi prochain. Villepin espère une seconde relaxe.

Source: Journal du Dimanche

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Chirac et Villepin accusés de financement occulte africain

Déjà empêtrés dans des procès-fleuve, Jacques Chirac et Dominique de Villepin sont accusés, par un des piliers de la « Françafrique », Robert Bourgi, d’avoir reçu, par mallettes entières, des fonds occultes de dirigeants africains, ce que l’ex-Premier ministre qualifie de « fariboles ».

Dans le Journal du Dimanche, l’avocat d’origine libanaise Robert Bourgi, 66 ans, décrit avec luxe de détails des remises de fonds d’Afrique – d’un montant « incalculable », dit-il – qu’il aurait effectuées personnellement auprès de l’ex-président et l’ex-Premier ministre entre 1997 et 2005.

Sa confession coïncide avec la sortie d’un livre-brûlot de Pierre Péan, « La République des mallettes », dans lequel le journaliste-enquêteur décrit un tourbillon de commissions et rétrocommissions avec en fil rouge Alexandre Djouhri, ami de M. de Villepin.

La noria de « valises » africaines aurait commencé, selon M. Bourgi, en mars 1997 « le jour de l’enterrement de mon maître Jacques Foccart ».

Jacques Foccart créa à l’Elysée, sous de Gaulle, la Françafrique, système très décrié de réseaux d’influence maintenus par Paris avec ses ex-colonies d’Afrique noire.

Les livraisons auraient pris fin en 2005 quand M. de Villepin a lancé abruptement, selon M. Bourgi: « l’argent de tous les Africains sent le soufre ».

« Par mon intermédiaire », « cinq chefs d’état africains -Abdoulaye Wade (Sénégal), Blaise Compaoré (Burkina Faso), Laurent Gbagbo (Côte d’Ivoire), Denis Sassou Nguesso (Congo-Brazzaville) et, bien sûr, Omar Bongo (Gabon) ont versé environ 10 millions de dollars pour cette campagne de 2002″, prétend l’avocat.

L’actuel ministre des Affaires étrangères Alain Juppé n’est pas épargné. « L’argent d’Omar Bongo a payé le loyer pendant des années » de son club 89, accuse M. Bourgi.

Rendez-vous devant une boutique de fleurs, argent dissimulé dans des tambours africains, surnoms fleuris (« Villepinte », M. Chambertin », «  »Le Doyen ») émaillent ce récit circonstancié.

Pourquoi l’homme de l’ombre rompt-il son long silence ? « J’en ai assez des donneurs de lçons et des donneurs de morale », répond-il au JDD, se présentant comme « déçu » et « humilié »‘.

Dans des documents diplomatiques ayant fuité via Wikileaks, M. Bourgi est décrit par des diplomates français comme « la quintessence de l’acteur de la Françafrique » et aussi « un mercenaire uniquement préoccupé par son bien-être ».

Souvent qualifié de conseiller officieux pour l’Afrique de Nicolas Sarkozy – même si à l’Elysée on précise qu’il ne figure sur aucun organigramme – M. Bourgi exonère totalement le président qui « m’a demandé de travailler pour lui, mais sans le système de financement par +valises+ ».

Tel n’est pas l’avis de Michel de Bonnecorse, conseiller Afrique de Chirac qui a assuré à Pierre Péan que Bourgi a, avant 2007, déposé une grosse mallette « aux pieds du ministre de l’Intérieur » d’alors, M. Sarkozy.

L’Elysée s’est refus à tout commentaire sur cette accusation.

Comme il avait qualifié le livre de Péan de « fantasmes », M. de Villepin qualifie les accusations de Bourgi de « fariboles » et d’ »écran de fumée ».

Coïncidence de calendrier ? C’est mercredi que M. de Villepin sera fixé sur son sort en appel dans l’affaire Clearstream, tandis que se poursuit le procès des emplois fictifs de la ville de Paris auquel M. Chirac est dispensé d’assister pour cause d’anosognosie.

Pour l’UMP, qui attend « des éléments de preuve » comme pour les deux présidents du sénat et de l’Assemblée nationale Bernard Accoyer et Gérard Larcher, le seul débouché possible à toutes ces accusations est judiciaire. « Quand on a des choses à dire, on le dit devant la justice », a dit M. Larcher.

Contacté par l’AFP, l’entourage de Jacques Chirac n’avait pas encore donné suite dimanche midi.

Source: Agence France Presse

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Un Chiraquien affirme que Bourgi a aussi financé Sarkozy

Un ancien conseiller Afrique de Jacques Chirac, Michel de Bonnecorse, accuse Robert Bourgi, qui affirme avoir remis des fonds occultes africains à Dominique de Villepin, d’en avoir également apporté à Nicolas Sarkozy, dans un livre de Pierre Péan à paraître.
Interrogé dimanche par l’AFP, l’Elysée s’est refusé à tout commentaire.

Dans le Journal du Dimanche, Robert Bourgi, qui est devenu un conseiller influent de Nicolas Sarkozy sur l’Afrique après avoir oeuvré dans l’entourage de Jacques Chirac et Dominique de Villepin, réfute cette version: « Ni Omar Bongo, ni aucun autre chef d’Etat africain, par mon intermédiaire, n’a remis d’argent ni à Nicolas Sarkozy ni à Claude Guéant ».

Dans un entretien accordé en février 2011 à Pierre Péan et reproduit dans son livre « La République des mallettes » (éd. Fayard), l’ex-Monsieur Afrique de Jacques Chirac, Michel de Bonnecorse, affirme que quand « il semblait évident qu’il y aurait deux candidats à droite, Robert Bourgi estima qu’il était temps de tendre la sébile pour les deux ».
Dès lors, il « obtient de Denis Sassou Nguesso et d’Omar Bongo (ndlr: les présidents congolais et gabonais) des sommes conséquentes », selon Michel de Bonnecorse, qui ne donne pas de détail sur les montants des fonds allégués ni sur leur utilisation.
Mais quand il rentre à Paris, « Dominique de Villepin est à terre, après l’échec retentissant du CPE en avril 2006, son projet de loi retiré ».

« Tout logiquement, Bourgi estime que désormais la route est dégagée pour Sarkozy. Villepin est cuit… Et au lieu de distribuer une mallette à chacun, il n’en fait qu’une, plus grosse, et la dépose aux pieds du ministre de l’Intérieur » de l’époque, Nicolas Sarkozy, affirme Michel de Bonnecorse.

« Et le retour sur investissement a été immédiat après l’élection de Nicolas Sarkozy: Bongo a été un des tout premiers, sinon le premier chef d’Etat appelé par le nouveau président » après son élection, poursuit le diplomate. Par ailleurs, le président gabonais « Bongo obtint alors un prêt pour l’Etat gabonais de 40 millions que Jacques Chirac lui refusait ».

Source: Agence France Presse

0 Commentaire

  1. charles

    Clearstream est une AFFAIRE parmi beaucoup d’autres. Pas plus, pas moins. C’est l’Habitute. Nous saurons la Vérité, la vraie, dans 10 ou 15 ans. Des hommes mentent aujourd’hui, comme hier et comme demain. Pour arriver au Pouvoir, pour s’y tenir et s’y retenir, des hommes font tout ce qu’ils peuvent. Ceci jusqu’à la fin.
    Notre intime conviction se fonde sur la personne, même pas sur la Justice. C’est grave. Les médias, les journaux, télés, radios.. ne font pas leur travail. Ils profitent de leur situation : audience-pub-rendement-pub-salaire-pub-parts de gâteau.
    Dans ce « truc », nous voyons bien les Intérêts en jeux. Une réélection à obtenir et un concurrent à supprimer.
    - Beaucoup sont pour le « roi », pour une place, leur place à tout prix et donc pour le grossier au pied des HLM, le grossier du salon agricole, la girouette des plans contraires, l’homme du silence total après des hurlements devant tous les micros.
    - Peu sont avec DDV. Et Chirac n’a rien dit, n’a rien « pris » sur lui. Il ne dit rien. C’est le premier défectueux pour lui.
    Nous sommes à Vichy. Et peu importe si le fn est au second tour, s’il gagne. Peu importe le Pays qui chute et sombrera : « moi, m’sieur, moi, j’aurai fait mon tour de piste ».
    Où sont les Aron ? les Mauriac ? les Intellectuels d’antan ?
    Où sont les Hugo ? les Zola ?
    Ah.. ces politiciens tout-petit-petit depuis 35 ans, ce « trop plein », ces marchands de bonbons actuels, je comprend que l’on s’abstienne de voter, que l’on est désespéré d’eux, et donc tous au chômage.
    Borloo, Morin, tant d’autres.. Ségo, Montebourg, tant d’autres.. Ils n’iront pas voir DDV, ils ne feront rien pour la France. Ils parlerons juste, juste pour eux : « une france juste ».
    Alors que l’Heure est à l’Effort, à la Sueur, à la Peine.
    Et qui a fait ça ? Qui nous a mis là ?
    Eh bien, tout s’est fait tout seul.. http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/6/68/Dette_publique_France_1978-2010.png

  2. esca

    Calomniez, calomniez…et pendant ce temps notre pays n’est plus gouverné. J’espère que les Français auront compris qu’une expérience aussi doloureuse que celle que nous vivons doit s’arrêter impérativement en mai 2012. Si ce n’était pas le cas, ce serait à désespérer de tout !

  3. mhn

    Comment encore croire à des attaques incessantes et d’autant plus virulentes que le danger entrevu par certains de voir D. de Villepin jouer un rôle important dans la vie politique Française apparait manifeste ?
    Nous sommes vraiment las et éceurés de cette façon de faire de la politique .

  4. Battementd'elle

    Pour une poignée d’hommes indignes… DDV c’est « Attention danger »
    Preuve qu’il est celui qui compte vraiment et qui dérange beaucoup. Souhaitons lui
    que la France prenne rapidement en considération CE QU’IL DIT et CE QU’IL PENSE
    sinon le cauchemar actuel ne serait rien par rapport à demain.

  5. yanamar

    @charles,

    Avec vos propos, si vous pensez aider DDV vous vous trompez lourdement, vous n’arrêtez pas de répéter votre haine pour Chirac, mais on s’en fout, pour le coup vous faites le jeu de ceux qui colportent ces fadaises.

  6. Seb

    Bourgi ou l’art du service commandé

    Plus c’est gros, plus ça passe, disait Jacques Chirac sur le ton de la boutade. En ce dimanche, Robert bourgi n’y est pas allé avec le dos de la cuillère, mais plutôt avec le tank.

    Dans ses révélations au JDD, bien opportunes, il a en effet affirmé avoir été porteur de valise pour Chirac et Villepin, leur apportant l’argent liquide des dirigeants africains, pour financer la campagne de Chirac en 2002.

    La Françafrique, les réseaux Foccart, c’est un sujet en soi, que je ne vais pas traiter faute d’info réellement fiable sur le sujet : le vrai se mêle à l’intox depuis des décennies, loin de moi l’envie de m’y brûler les ailes. Non, ce qui m’intéresse plutôt, c’est le jeu joué par Robert Bourgi, et la campagne orchestrée contre les réseaux chiraquiens.

    Pour lire la suite, cliquez ici:

    http://zefml.com/2011/09/11/bourgi-ou-l%E2%80%99art-du-service-commande/

  7. Christine houbart

    Je ne sais si ce Monsieur est téguidé ou non par l’Elysée mais quoiqu’il en soit ces affaires éloignent encore un peu plus les Français de la politique et ne profitent qu’à seule personne : celle qui veut dédiaboliser son parti.

    2012 ne va être un long fleuve tranquille et la france est véritablement sur une bien mauvaise pente tant sur le plan économique et social que moral.

  8. Christine houbart

    Pour ma part, je continuerai à soutenir Dominique de Villepin comme enson temps, Jacques Chirac

  9. jany

    Seb,

    Ce lien mis en fin de votre commentaire est très intéressant. Il éclaire. Mais je me pose des questions sur l’auteur de ce lien. Qui est -il?
    Quelqu’un pourrait il donner des informations à ce sujet?
    Merci

  10. charles

    @ yanamar
    Je n’ai jamais de mot de haine contre Chirac, ou alors je ne sais pas ce que cela veut dire. Je dis juste son bilan, deux mandats, les résultats du Pays, politique de déficits et aucune Réforme ( je l’ai « suivi » des yeux depuis.. sa giscardie ). Sa politique étrangère fût de bonne facture. Mais Chirac c’est du passé ( pour Mitt’rrand.. le mensonge était bien là ).
    Si DDV a « besoin » de moi ( et de beaucoup d’autres ) il me prendra comme je suis. Un vrai.. « allemand » pour son pays. Et cette « affaire » Clearstream ne fait rien à l’affaire pour moi, je suis incapable de savoir aujourd’hui et d’en dire trois mots. Sauf que j’ai « suivi » Sarkozy dans ses navigations-perso, depuis qu’il s’est lancé dans l’arriviste forcené. Je sais ce qu’il peut dire et fair.. non.. dire et redire pour arriver.
    Je dis simplement : que trop d’affaires nuisent à la France depuis.. 40 ans et que les médias ne nous disent pas tout, de ce qu’ils savent, car ils côtoient TROP.
    Ainsi.. cela me peine toujours de voir DDV chez Ruquier ou à Canal-plus. La Politique vaut mieux que ça. Ce n’est qu’une opinion, on peut penser l’inverse.

  11. charlotte

    ON comprends pourquoi ce MR BOURGI se venge!SI DDV l’a viré en 2005 c’est qu’il avait ses raisons ,en lisant l’article de l’AFP et le récit de MR BONNECORSE on comprends qu’il n’y a qu’un seul personnage derrière tout ça,et ça a commencé avec le cpe,j’éspère que les français auront compris ,ça prouve aussi que ns s’est fait élire ,non pas pour aider les français dont il n’a que faire,mais pour unique but se venger de DDV qui ,lui a une stature de président,ce que NS n’aura jamais!MOI c’est DDV un point c’est tout!

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