C’est aujourd’hui, jeudi 1er mars, qu’est publié aux éditions du Cherche-Midi « Seul le devoir nous rendra libres », le livre-programme de Dominique de Villepin. Il sera en vente au prix de 4,75 euros.
Une première séance de dédicaces est prévue le vendredi 9 mars au Drugstore Publicis des Champs-Elysées à Paris.
Retrouvez ici des extraits du livre-programme de l’ancien Premier ministre.
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Villepin appelle tous les Français à faire leur devoir face à la crise
Travailler plus, contribuer à l’impôt, économiser et se rassembler: l’ancien Premier ministre Dominique de Villepin appelle « tous les Français » à faire « leur devoir » face à la crise dans un livre qui paraît jeudi.
« Face à cette situation de crise profonde, il n’y a qu’une seule réponse qui vaille: que tous les Français fassent leur devoir », explique le candidat à l’Elysée dans cet ouvrage « Seul le devoir nous rendra libres » (éditions Le Cherche-midi). « Je suis convaincu qu’il existe dans le pays des réserves immenses de ce sentiment de devoir. C’est pourquoi j’assume de vous proposer une politique d’effort national dans la justice et la solidarité », ajoute-t-il avant de détailler les efforts qu’il juge utile d’accomplir.
« En premier lieu, nous devons produire plus de richesses », dit le fondateur de République solidaire, pour qui cela conduira « à travailler plus, en fixant la durée légale du travail à 37 heures par semaine ». « Notre devoir est de contribuer plus à l’impôt, pendant le temps nécessaire à la restauration de notre équilibre budgétaire », ajoute-t-il.
Le candidat gaulliste entend pour cela augmenter l’impôt sur les sociétés des grandes entreprises « qui doivent enfin payer autant d’impôt sur le bénéfice que les PME » et « augmenter la tranche supérieure de l’impôt sur le revenu pour porter le cumul avec la CSG à un maximum de 60% ». L’Etat, de son côté, devra « économiser encore plus » en « réduisant la dépense publique » et en freinant « la progression des dépenses de maladie », ajoute M. de Villepin pour qui « la combinaison des économies et des nouvelles contributions » doit « permettre de revenir à l’équilibre en cinq ans en trouvant 100 milliards d’euros ». « L’effort sera équitablement réparti: un tiers pour les ménages aisés, un tiers pour les grandes entreprises et les banques et un tiers pour tous les Français ensemble », précise-t-il.
Autre devoir des Français, d’après l’ex-Premier ministre de Jacques Chirac: se rassembler. « Les forces politiques doivent se rassembler dans l’Union nationale, le temps de surmonter la crise avec un gouvernement mêlant personnalités de gauche, de droite et de la société civile », explique celui qui entend aussi recourir « au référendum pour mobiliser tous les citoyens autour des grands enjeux du quinquennat ».
Source: Agence France Presse
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Les bonnes feuilles du livre de Dominique de Villepin
« Devant ma page, je suis devant vous. » Dès la première ligne, apparaît le lyrisme caractéristique de l’ancien Premier ministre aujourd’hui candidat à la présidentielle. Dominique de Villepin se dévoile dans « Seul le devoir nous rendra libres », son livre-programme qui sera publié le 27 février aux éditions du Cherche-Midi.
« Je me présente à vous, et vous avez donc le droit de savoir qui je suis », poursuit-il. On apprend d’abord qui il fut : « Un mauvais élève, un cas presque. » Un « cas » qui s’est rapidement repris. Une chose n’a toutefois pas varié : son anti-sarkozysme. S’il ne cite pas une seule fois le nom de son meilleur ennemi, il fustige en quelques lignes la politique du président-candidat qui a enfilé les habits de père Courage et s’est drapé des vertus de l’orthodoxie allemande.
Le fondateur de République solidaire trace, enfin, « le chemin de notre devoir », convaincu que « notre devoir, c’est d’abord de faire des efforts, de donner plus à notre pays « . Il égraine ses propositions : 37 heures, démocratie directe, TVA sociale, revenu citoyen… Extraits.
Son enfance de « mauvais élève »
J’ai longtemps été un « mauvais élève », un « cas » presque, voué à un baccalauréat facile et sans débouchés prestigieux ; et puis un beau jour, à force de travail, mais surtout à force de chercher quelle serait ma voie, tout s’est dénoué, et celui qui n’avait pas la « tête d’un premier de la classe », comme me l’a dit un jour un camarade, l’est devenu. J’ai ressenti pendant mon parcours scolaire, tant en France qu’à l’étranger, une révolte contre l’étroitesse des critères d’excellence, et donc de jugement, appliqués aux élèves. Cette hiérarchisation entre les « bons », destinés au baccalauréat scientifique, et les « moins bons », relégués dans des filières sans prestige, n’a aucun sens. A un moment, j’ai été poussé vers ces « voies de garage ». Mes maîtres me faisaient alors bien sentir que mon destin social se jouait, que j’étais condamné à des petits rôles dans la société, et à voir indéfiniment les bons élèves, comme des météorites, traverser le ciel de la réussite au-dessus de mes yeux. Ce faux lien entre réussite et critères scolaires étroits a quelque chose de mortifère, dans la mesure où il abîme l’estime de soi d’élèves qui ne parviendront pas à s’engager dans la voie des grandes écoles. Le but de cette éducation étroite, punitive dans son principe, n’est pas de découvrir et faire fructifier des dons, mais de trier aveuglément. Or, la véritable excellence, c’est de réussir sa vie. Réussir sa vie, c’est s’épanouir personnellement dans un rapport harmonieux avec la collectivité. C’est donner et recevoir. Pour donner, il faut avoir cultivé ses dons. Si vous installez quelqu’un dans l’idée qu’il a raté son entrée dans la société parce que son parcours scolaire n’a pas correspondu aux critères d’excellence étroits qui sont les nôtres aujourd’hui, il n’aura pas grand-chose à donner, à part sa révolte. Et il n’aura pas grand-chose à recevoir non plus, à part le minimum qu’une société accorde à ses éléments marginaux. C’est cette dialectique qui doit être cassée. Il est plus que temps de réconcilier méritocratie et diversité des dons. Il est temps que la transmission des savoirs se fasse au profit des personnes, et non pas pour récompenser des modèles de conformisme et de docilité.
Sa critique du sarkozysme
Le premier boulet, c’est la dette, qui nous obsède. Elle n’a pas été créée par la crise de 2008, mais elle est devenue insoutenable et, de déficits en récessions, elle a fait boule de neige. On ne redira jamais assez le danger qu’il y eut à laisser croître la dette pendant plus de trente ans. C’est une menace pour notre Etat social, pour notre efficacité économique, et une injustice envers les générations futures, puisque chaque enfant naît aujourd’hui avec une dette théorique de 30 000 euros qu’il aura à rembourser pour le compte de l’Etat au cours de sa vie. J’en avais fait le cœur de l’action de mon gouvernement entre 2005 et 2007. Trois gouvernements seulement avaient fait baisser la dette, ceux de Michel Rocard, de Lionel Jospin et le mien. Seul le nôtre avait engagé un effort structurel, c’est-à-dire un effort qui s’attaquait au déficit structurel de la dette, et non à sa seule croissance. Je n’ai cessé de regretter que le gouvernement Fillon se soit affranchi de cette discipline pour ouvrir les vannes. Notre dette aura augmenté de 5 points par rapport au PIB, avant même la crise. L’Allemagne maîtrise parfaitement ses déficits, se finance à moindre coût : pourquoi pas nous ? N’allons donc pas chercher dans la mondialisation ou les crises la responsabilité de nos déficits de santé, de dépenses publiques, de retraites. Allons plutôt la chercher dans un manque de courage, de sens du réel, dans le clientélisme, dans le confort des habitudes de la classe politique. Ce n’est pas une petite contrainte, et le défi nécessite un effort national, comme en 1958. En 1958, alors que la crise de régime pouvait déboucher sur le chaos, nous avons réglé les problèmes, mis le pays dans une perspective positive, qui convenait à tous. La dette, ce sont les partis. C’est presque une règle historique de notre histoire. La dette, c’est l’accumulation des petites lâchetés, des intérêts particuliers, des accommodements. Répondre à la dette, ce n’est donc pas en premier lieu définir un plan de rigueur. On voit bien qu’on peut en avoir deux en un an sans effet. Non, répondre à la dette, c’est d’abord s’attaquer à la république des partis pour restaurer notre souveraineté de l’intérieur.
Ses propositions
Face à cette situation de crise profonde, il n’y a qu’une seule réponse qui vaille : que tous les Français fassent leur devoir. De haut en bas de la société, et en proportion de leurs facultés et de leurs moyens. [...] Je suis convaincu qu’il existe dans le pays des réserves immenses de ce sentiment de devoir. C’est pourquoi j’assume de vous proposer une politique d’effort national, dans la justice et la solidarité entre tous les Français, par le rassemblement autour de quelques priorités claires. [...]
37 heures
En premier lieu, nous devons produire plus de richesses. Ce n’est pas par amour de l’argent ou par culte de la croissance que je propose cela, mais c’est par esprit de solidarité avec tous ceux qui dépendent de la richesse produite pour voir leur situation s’améliorer et qui sont notamment les plus faibles, mais aussi ceux dont les revenus et les perspectives d’emploi dépendent de la situation économique générale. Produire plus de richesses, cela nous conduira à travailler plus qu’aujourd’hui, en fixant la durée légale du travail à 37 heures par semaine, payées naturellement au taux normal, pendant le temps du redressement national.
Démocratie directe
Nous aurons à mobiliser toute la nation. Nous recourrons au référendum pour mobiliser tous les citoyens autour des grands enjeux du quinquennat, car le peuple doit s’imposer à la classe politique, il doit faire parler sa voix souveraine. Mais la démocratie de proximité doit aussi être encouragée : je proposerai de donner plus de pouvoirs à des conseils de quartier élus au suffrage universel. Pour que chaque Français se sente représenté, je souhaite qu’une dose de proportionnelle soit instaurée pour les élections au Parlement.
TVA sociale
Nous avons un devoir vis-à-vis de la compétitivité de nos entreprises. Baisser le coût du travail est nécessaire pour renforcer notre compétitivité, notamment dans l’espace européen, et donc produire plus de richesses. C’est un effort important que nous devons consentir, en diminuant de quatre points les charges des entreprises sur le travail. Les sommes seront notamment récupérées par un transfert de ces quatre points sur la TVA.
Revenu citoyen
Une des conditions de la liberté dans notre société, c’est d’être affranchi du besoin. C’est ce qui fonde ma proposition de fondre en une seule toutes les allocations sociales existantes, pour plus de simplicité, de lisibilité et de contrôle, et de la transformer en un revenu citoyen, contrepartie d’une activité au service de l’intérêt général et de l’accomplissement des obligations civiques. Oui, je reste convaincu qu’à terme la citoyenneté doit être synonyme d’une activité et d’un revenu garanti pour préserver la dignité de chacun. Je reste plus que jamais attaché à son principe. Mais un changement aussi profond ne peut se faire en un jour, car les caisses aujourd’hui sont vides. Mais il faut s’engager sur cette voie. D’autres pays nous suivront. Enclenchons la dynamique en mettant la priorité sur nos compatriotes ne difficulté. Les premiers concernés seront ceux qui souffrent le plus aujourd’hui, les personnes âgées vivant avec le minimum vieillesse ainsi que les personnes handicapées. Ils doivent pouvoir percevoir le revenu citoyen à 850 euros dès maintenant. Ils doivent se voir offrir en même temps la possibilité, s’ils le souhaitent, d’une activité qui leur procurerait un lien social précieux. Simultanément, celles et ceux qui sont volontaires pour s’engager dans une démarche de citoyenneté active pourront entrer dans ce dispositif. Je veux que nous proposions aux chômeurs en fin de droits et allocataires des minima sociaux un million de contrats citoyens, par lesquels ils s’engageraient pour 20 heures hebdomadaires d’activité pour le bien public en échange du revenu citoyen. Enfin, les jeunes qui sont des citoyens en devenir doivent pouvoir s’emparer de cette citoyenneté comme d’un projet personnel. C’est pour cela que je souhaite ouvrir la possibilité aux jeunes qui effectueront leur service citoyen de concrétiser un projet avec à la clé un prêt bonifié représentant une année de revenu citoyen, qu’ils rembourseront plus tard sur leur impôt sur le revenu.
Source: Nouvelobs.com
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Dominique de Villepin voit sa candidature comme un « devoir »
« Seul le devoir nous rendra libres ». C’est le titre du livre, ou plutôt du livret programmatique, que publie Dominique de Villepin le 1er mars, aux éditions du Cherche-Midi. Six mois après la parution de Notre vieux pays, dans lequel il prônait la « remondialisation » – un concept qui n’a pas fait florès -, celui qui est toujours officiellement candidat tente de marquer le coup en expliquant le sens de sa démarche, qu’il conçoit comme un « devoir », alors que le retrait de Christine Boutin, puis celui de Hervé Morin ont récemment contribué à une plus forte bipolarisation de la campagne présidentielle. S’il avait déjà révélé ses propositions en avril 2011, son entourage précise aujourd’hui qu’il ne s’agissait que de la « base du projet présidentiel ». On y trouvait pourtant ses mesures phares : le revenu citoyen – il a, depuis, été amendé -, un gouvernement resserré de dix ministères, la création de dix grandes régions métropolitaines…
Le livret coûte cette fois trois fois moins cher (moins de 5 euros). La couverture, en revanche, ne donne ni dans la simplicité, ni dans la nouveauté. C’est en effet une image devenue culte qui a été choisie, celle de l’ancien Premier ministre prenant la parole à l’ONU, en 2003, contre la guerre en Irak. « Et c’est un vieux pays, la France, d’un vieux continent comme le mien, l’Europe, qui vous le dit aujourd’hui, qui a connu les guerres, l’occupation, la barbarie », avait-il tonné. Difficile de ne pas y voir un message. Dix ans après son principal fait d’armes, le flamboyant ex-Premier ministre se voit-il partir en campagne comme la France de Chirac s’est dressée contre l’Amérique de Bush ?
« Assez suicidaire » pour être candidat ?
Dominique de Villepin a, sans conteste, le sens du tragique. Il lui reste désormais à obtenir ses 500 parrainages. Or Villepin reconnaît lui-même avoir le plus grand mal à les récolter. Jean-Pierre Grand, le député UMP qui dirige le mouvement République solidaire, chargé avec Brigitte Girardin de la collecte des précieux paraphes, évoque de son côté un « risque non négligeable » que le nombre de 500 ne soit pas atteint. « Les maires sont toujours aussi frileux », confiait-il lundi, alors qu’il s’apprêtait à passer des coups de téléphone, comme chaque soir. Mais la parution même de ce livre pourrait servir, selon un proche de Dominique de Villepin, à « tuer l’un des mythes qui consiste à dire que la candidature n’est pas faite pour aboutir ». Le même affirme encore que la question des parrainages est un « faux problème ».
Alors, quand bien même Dominique de Villepin parviendrait à récolter les signatures nécessaires, prendra-t-il le risque de faire un score inférieur à 5 %, ou même 3 % ? « On lui a suffisamment reproché de ne pas être un homme politique au sens classique ! » répond un proche collaborateur, toujours persuadé que la cote de son candidat peut encore décoller. Une déclaration que l’on ne saurait démentir à l’Élysée, où l’on ne dispose que de peu de canaux de communication avec l’ex-Premier ministre : « Il est assez suicidaire pour y aller », lâche un conseiller.
Source: Pauline de Saint-Rémy (Le Point)
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La présentation de l’éditeur
Dans cette chronique des premières semaines de son quinquennat, Dominique de Villepin se dévoile, tout en révélant les mesures qu’il prendra s’il est élu à la présidence à la République.
Ce récit tourné vers l’action détruit tous les clichés dont on l’a affublé : un amoureux des postures, un aristocrate qui joue à la politique, un homme que les habitudes de son milieu éloigne des préoccupations des Français, un littéraire égaré dans une époque dominée par les gnomes de la finance ; un homme, enfin, qui se soucie tellement peu de la démocratie qu’il a négligé d’en passer par le suffrage universel… Jusqu’à ce jour de décembre où il a étonné tous les observateurs de la vie politique en se présentant à l’élection présidentielle.
Dominique de Villepin livre ici les raisons profondes pour lesquelles il lui a paru nécessaire de se lancer dans la bataille, en expliquant ce qu’il fera s’il est élu et pourquoi. Il exprime les sentiments qui naissent en lui de son observation des Français et de son dialogue avec eux.
Ce livre donne à découvrir une personnalité nouvelle dans la vie politique, qui répond aux exigences d’une démocratie moderne, composée de citoyens formés, vigilants, désireux de participer aux décisions tout en ne lâchant rien sur l’amour de la grandeur qui caractérise notre pays.
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A l’intention de ceux qui l’ignorent, Dominique de Villepin a écrit aussi d’autres ouvrages politiques….pas seulement sur Napoléon, mais sur le monde et la France d’aujourd,hui:
De L’esprit de cour, la malédiction française, Perrin 2010.
La cité de hommes, Plon, 2009.
L’homme européen (avec Jorge Semprun),Plon, 2005.
Histoire de la diplomatie française, (en coll.), Perrin 2005.
Le requin et la mouette, Plon, 2004.
Un autre monde, l’Herne,2003.
Le cri de la gargouille, Albin Michel, 2002.
Et comme la répétition est la mère de l’étude, je redis inlassablement: lisez, non pas ce qu’on dit de lui, mais ce que dit DDV, c’est là qu’on le rencontre!!!
DDV, son programme ?
Une seule chose, un rêve-possible, « notre vieux pays » redevenu équilibré en 10 ans.
Par l’Effort. L’effort de tous.
Quand il est écrit effort, c’est effort.
Quand il est écrit tous, c’est tous.
Beaucoup de Travail, de la sueur. Pourquoi des larmes ?
Et un Homme, pour le représenter ce Pays, dont on peut être fier. Tout au moins content de l’allure et du verbe, et de la Parole à l’Etranger.
Chez nous, dans tous les domaines des Réformes sont à faire.
- Sur la Fiscalité par ex, l’IR ne rapporte rien. Et on n’ose pas toucher « la douloureuse », cela se voit et se sent : 100 euros, 200, 500, 1000, 10.000 euros et plus, à payer tous les ans. La bonne TVA, qui rapporte bien, est plus « juste » car si invisible, si douce à Auchan ou Carrefour. Et la TIPP, si « utile », si nécessaire aux conducteurs pour conduire et prendre l’autoroute, on tape du pied, le gouvernement le sait. Mais on roule toujours. Les grandes Entreprises, elles, elles optimisent leur comptes et leur déclaration. Pour le reste, si la Suisse un jour est fermée « aux fuites », il restera bien la Peinture ou un « chateau à sauver » du fond d’son coeur.
- Réforme de l’Etat, économies et restrictions, taxis et trains. Suppression du Sénat remplacé par un Conseil des Régions. Réforme de l’Ecole, réforme de l’Entreprise et Cogestion, réforme, réforme, réforme.. Adaptation.
Car un jour ça se verra que l’on ne vend plus, que l’on importe presque tout, que l’on chôme, que..
l’on dort sur les « 30 glorieuses » mortes. 1700 milliards d’euros accumulés en crédit.
30 ans de laxisme, de lâcheté du Pouvoir.
Ce serait bien qu’on puisse savoir le contenu du livre projet un peu avant la sortie, ne serait-ce que pour pouvoir en parler.
@Miss Nicopéia: d’accord, pour le comprendre. Mais l’opinion publique a besoin qu’on lui parle d’avenir. Ce livre projet est donc différent.
France. « La Marche en avant ». Voici tes chefs !
( je sais, je suis très critique, car âne je ne vois rien venir ma soeur )
– Direction de campagne Brigitte GIRARDIN ancien ministre et Jean-Claude CARRIÈRE et Nelly OLIN ancien ministre et Azouz BEGAG et Jean-Pierre GRAND et Marc BERNIER et Olivier ORBAN, Marin de VIRY, Luc BROSSOLLET, Laurent TESSLER, Sylvie BOURAS, Xavier SAUZADE, Anthony HAMELL, Maguy PELTIER, Hakima AIT EL CADI, Alain MAUROY, Assia MEDDAH, Julien MIRO.
Voici tes fils.
Un silence assourdissant.
Ce livre, dont le prix est symbolique devrait être présenté sur le journal de 20 heures, sur au moins deux chaines principales . C’est indispensable, et politiquement obligatoire afin d’informer les gens, surtout celles et ceux qui ne lisent pas beaucoup .
En somme, dès sa parution il faudra informer des millions de citoyens .
Cherche-Midi, Livre.. et Maison-d’Edition ?
Mais !.. je ne connais pas ces villes de France !
MISS NICOPEIA,d’accord avec vous ,il faut lire les livres que DOMINIQUE écrit lui-mème,j’ai par exemple acheté le 2ème tome de quai d’orsay,cette bd n’a aucun intérèt c’est de l’argent dépensé inutilement!
Bon va gars.. va j’ m’en va trois jours à Paris..
et l’ vloir si j’ le vois.. et je lui dis que j’habite en province !
Pour ce qui me concerne, j’ai beaucoup aimé « Quai d’Orsay », une satire très drôle du fonctionnement des services de l’Etat. Et j’espère un jour avoir le bonheur de voir mes exemplaires dédicacés par « Alexandre ».
Il faudra le diffuser largement !
Je compte pour ma part offrir le programme de DV à un maximum d’amis et de connaissances.
@Charlotte,
d’accord avec vous!
C’est DDV qu’il faut lire et écouter!
Le reste, même dans le meilleur des cas, ne peut être qu’extérieur donc vu a travers des lunettes….plus ou moins noire.
J’attends aussi avec impatience « Seul le devoir nous rendra libres » . DDV, c’est la voix de la raison, celle du « passeur ».
Dominique de villepin vous etes decevant!!!!! vous n’avez rien compris a la France de demain: Vous êtes contre le droit de vote des étrangers, vous êtes pour la levée de l’anonymat des parrainages pour les candidats du Front National, lorsque d’autres préconisent la suppression de ce parti!!!!;Vous n’avez rien rien compris à la France et le destin qui est en train de s’écrire. Arretez de roulez pour vous , vous avez perdu le sens des réalités, vous êtes dans le ressentiment, l’aversion à Sarkosy, ce que je comprends aisément, ne doit pas vous fourvoyer, sur les questions et les enjeux de demain. Allez au boulot, arretez de vous regarder le nombril, et trouverz-vous une circonscription, vous en serez grandi, et gagnerez en LEGITIMITE..
Une citoyenne Franco- Algerienne.
DDV veut qu’on respecte les lois de la République Française.
Que cela nous plaise ou non, le FN existe dans un pays de tradition démocratique et c’est anti-démocratique de vouloir supprimer un parti.
DDV est pour l’anonymat des parrainages; tous les partis doivent être traités de la même manière et l’anonymat protège des pressions.
La légitimité de DDV consiste, entre autres connaissances, en 35 ans d’expérience au service de l’état. C’est plus convainquant, dans les faits, qu’une circonscription ….circonscrite.
Bonne interview de DDV sur France 2 ce matin.
Comme dit Miss Nicopéia, DDV c’est « la voix de la raison » !!
Il est encore temps que les Français réagissent et rejoignent DOMINIQE DE VILLEPIN.
Je viens de l’acquérir aujourd’hui! 107 pages en assez gros caractères, d’un abord très facile.
Il parle vrai, ne flatte pas les électeurs,
Juste une seule citation, pour dire…
« Répondre à la dette, ce n’est donc pas en premier lieu définir un plan de rigueur. On voit bien qu’on peut en avoir deux en un an sans effet. Non, répondreà la dette, c’est d’abord s’attaquer à la république des partis pour restaurer notre souveraineté de l’intérieur. » (p.34).
Si vous voulez lire la suite et le développement de cette prise de position,….eh bien, achetez ce bouquin !
On ne peut pas APPELER depuis Cherche-Midi, ou Livre, ou Maison-d’Edition sur Seine !
On ne connait pas ces villes de France !
La FRANCE.
Depuis Montpellier c’est possible.. Ecoutons.. écoutons.. écoutons donc :
DDV à MONTPELLIER : » . . . .
(ce soir peut-être.. hein ?.. Mme Girardin.. vers 18H00.. très très précises)
Un citoyen français (et ailleurs qui a vu.. et qui n’a rien vu d’ailleurs ailleurs) et qui est contre les voiles dehors, contre le Vote des étrangers (et des expatriés) hors des frontières, contre le mariage-joyeux et leurs baisers ensuite légales dehors dans les Rues et les Parcs et Jardins d’enfants, contre toutes les génuflexions provocantes dehors, contre le fait exprès dehors pour affirmer seulement son gros-moi-je, son petit truc-à-soi même, etc.. et l’agiter devant les préfectures, devant les mairies. Bref.. entièrement contre le sociétal mode.
La Politique est bien Autre Chose. S’il n’était que de cela.. Hollande-Sarkozy-Bayrou nous irait bien ici et maintenant. On ferait.. comme on a fait, idem, comme depuis 35 ans.
Et donc, le reste importerait si peu ?
Nous sommes dans une déviance du Suffrage Universel.
Nous sommes à la Foire !
Au Marché !
Ou à.. Gifi. Seulement là.
A Yasmina : Ce n’est pas à DDV d’ empêcher le parti du front national d’exister ! c’est mission impossible ! de plus, n’étant pas au pouvoir celui-ci ne peut agir, pas plus qu’il ne peut agir sur ses propres parrainages à lui . Il doit en effet dépenser de l’énergie pour courir après les signatures .
Concernant le droit de vote des étrangers ; encore faut-il que DDV soit au pouvoir pour faire passer cette loi .
A propos, les étrangers qui vivent en Algérie : ( Français, allemands, Suédois etc…) ont-ils le droit de voter dans ce pays ?
Faut-il que nous soyons les seuls à accepter ? Est-ce uniquement à sens unique ?
On est en droit de penser que le résultat de la présidentielle 2012 risque d’entacher notre
république de la maniière dont les choses se profilent.
En tant qu’inconditionnels de DDV, il est certain que notre décision de non vote se précise
comme le laisse entendre JPG et on peut le comprendre aisément.
ET SI pour la première fois en France, l’abstention record s’invitait soudain dans le débat,
comment en expliquerait – on la cause !!
La préselection des candidats du 6 mai est déjà une évidence.
SI NS, c’est non et FH de même, LA FRANCE SERA DEVENUE MUETTE.
Aucun candidat crédible pour la 5ème puissance mondiale, irons nous jusque là …..
@Yasmina
Je ne vois pas en quoi ça serait n’avoir rien compris à la France que d’être contre le vote des étrangers.
C’est comme si un Parisien s’insurgeait de n’avoir pas le droit de voter à Toulouse
Bon… plus sérieusement, « Yasmina »… moi je pense que vous êtes un troll, parce qu’une franco-algérienne ne tiendrait pas de tels propos !
Vous ne seriez pas plutôt un ou une envoyé(e) de chez… qui nous savons !