Dominique de Villepin était, ce matin, l’invité du Grand Rendez-vous d’Europe 1.
« Quand Nicolas Sarkozy se lève le matin, est-ce qu’il se pose la question de l’intérêt général ou la question de l’intérêt de l’UMP ou de son intérêt personnel ? », s’est interrogé Dominique de Villepin.
« Nicolas Sarkozy est aujourd’hui un des problèmes de la France », a-t-il déclaré, évoquant le mandat du Président comme « une parenthèse politique qui doit être refermée ».
Invité de Jean-Michel Aphatie jeudi matin sur RTL, Dominique de Villepin a estimé que les déclarations de François Fillon la veille affirmant son souhait de rester à Matignon montraient « une sorte d’inversion des responsabilités » à la tête de l’exécutif.
Auteur d’un récent ouvrage dénonçant « l’esprit de cour » sous la présidence Sarkozy, il a estimé que François Fillon « a clairement montré qu’il n’était pas » un courtisan. Il a jugé que la tenue en mai du procès Clearstream en appel, dans lequel il doit comparaître, était de « bon augure ».
Nomination de Jean-Louis Borloo à Matignon, candidature de Nicolas Sarkozy à un second mandat, arrivée de Jean-François Copé à la tête de l’UMP, procès en appel Clearstream, élections de mi-mandat aux Etats-Unis…
La suite de l’interview de Dominique de Villepin, dimanche soir, dans Soir 3 Politique.
Dominique de Villepin, était, dimanche soir, l’invité de Soir 3 Politique.
Réforme des retraites, bouclier fiscal, coopération militaire franco-britannique, situation en Afghanistan: les principales déclarations du Président de République Solidaire…
L’ancien premier ministre Dominique de Villepin a estimé qu’il fallait « prendre acte » de « l’autorité de la loi » et savoir « respecter » la réforme des retraites une fois « adoptée par la souveraineté nationale ». « Je comprends bien qu’il puisse y avoir des frustrations (…). Mais cette loi a été votée au Sénat, elle le sera demain (mercredi) à l’Assemblée nationale et elle sera promulguée d’ici une quinzaine de jours », a-t-il affirmé à i-Télé.
« Je crois qu’il faut prendre acte, dans ce contexte, de l’autorité de la loi et savoir respecter en républicain cette loi adoptée par la souveraineté nationale », a poursuivi le président de République solidaire (RS).
Ce mardi soir, Dominique de Villepin et François Hollande étaient réunis pour la première fois sur un plateau de télévision en direct sur France 2, dans « Face aux Français ».
Dominique de Villepin, Président de République Solidaire, était, ce dimanche, l’invité de Nicolas Demorand sur France 5 dans C Politique. Vous pourrez revoir l’émission pendant 15 jours en cliquant ici.
Dominique de Villepin a appelé à un « compromis » pour le projet de loi sur les retraites, portant sur une « correction » ou même un « effacement » du relèvement de 65 à 67 ans de l’âge auquel on pourra partir avec une retraite sans décote, selon la réforme du gouvernement.
L’ancien Premier ministre Dominique de Villepin a expliqué jeudi, à propos de la volonté affichée par Nicolas Sarkozy de réformer jusqu’à la fin du quinquennat, que la réforme ne devait pas être un gadget, servir à faire de « l’agit-prop » mais être au service des Français.
« La réforme, c’est certainement pas un gadget, on ne peut pas avec la réforme faire de « l’agit-prop »", a lancé le président du parti « République solidaire » sur TV5 Monde. « La réforme, c’est aussi au service des Français, c’est au service de notre pays », a-t-il fait valoir.
Le président du mouvement République Solidaire, Dominique de Villepin, a affirmé mercredi qu’il aurait aujourd’hui « plus de soutien » que Nicolas Sarkozy, en s’exprimant sur LCI sur la présidentielle de 2012, laissant encore planer le doute sur sa candidature.
« Ca, nous verrons. L’avenir nous le dira », a-t-il répondu quand on lui demandait s’il serait candidat à l’élection présidentielle, avant d’ajouter: « il est clair qu’il n’y a pas beaucoup d’autre alternative (que lui) sur la scène politique française ».
Dominique de Villepin était l’invité de Raphaëlle Duchemin ce matin sur France info Il réagit à la mobilisation qui prend de l’ampleur contre la réforme des retraites.
Marie-Anne Montchamp, porte-parole de République Solidaire, était vendredi soir, l’invitée de Thierry Guerrier sur France 5 dans l’émission C à dire ?!
François Goulard était l’invité de Michel Field, mercredi sur LCI, pour le « Oui/Non ».
Le député villepiniste du Morbihan a estimé que « le gouvernement devrait accepter des concessions sur la retraite à 67 ans ». Il s’est également exprimé sur le prochain remaniement gouvernemental, ainsi que sur le projet de budget pour 2011. Lire la suite →
Le Président de République Solidaire était, ce dimanche, l’invité de l’émission Dimanche Soir Politique. Il était interrogé par Jean-François Achilli (France Inter), Françoise Fressoz (Le Monde) et Jean-Jérôme Bertolus (I Télé).
Invité de Christophe Barbier sur LCI mardi matin, Dominique de Villepin a souhaité qu’ait lieu rapidement son procès en appel dans l’affaire Clearstream, qui a été repoussé de facto de plusieurs semaines en raison de sa tenue devant une chambre commune.
Alors que trois Français ont été enlevés mercredi au Nigeria, six jours après le kidnapping de cinq autres au Niger voisin, la France est-elle dans le viseur des terroristes ?
Sur RTL, Dominique de Villepin a donné son opinion sur la politique anti-terroriste de la France, à l’heure où onze Français sont retenus en otage dans le monde.
L’ancien premier ministre Dominique de Villepin a accusé mardi le gouvernement de susciter la panique par des discours faisant état d’une menace terroriste sur le sol français.
Invité de «Bourdin Direct» ce lundi, le président du mouvement République Solidaire, juge inquiétante la dégradation de l’image de la France à l’étranger, et déplore la surenchère sécuritaire donnée à voir par le gouvernement depuis plusieurs semaines.
L’ancien Premier ministre Dominique de Villepin a appelé jeudi Nicolas Sarkozy à exercer « son métier de président » avec « mesure », sans chercher à « exploiter politiquement » le dossier des Roms à Bruxelles avec une nouvelle surenchère.
« La droite ne se reconnaît pas, et je parle au nom de beaucoup de ceux qui votent en faveur de l’UMP ou en faveur de la droite, la droite ne se reconnaît pas dans cette politique.
Est-ce que vous pensez que les gaullistes s’y retrouvent? Est-ce que vous pensez que les démocrates-chrétiens, les catholiques sociaux se retrouvent dans cette politique? Non.
Donc je mène le combat à l’intérieur de ma famille d’origine, et je mène le combat au sein de République Solidaire, pour affirmer l’identité et les valeurs qui sont les miennes. »
Interviewé mercerdi dernier sur BFM Radio, le député villepiniste du Morbihan estime que Nicolas Sarkozy se présente non pas comme un rassembleur, mais comme un homme politique soucieux de sa réélection éventuelle en 2012.
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