Malgré la tuerie de Toulouse, qui a mis entre parenthèses débats et escarmouches de la campagne, l’organisation de l’élection présidentielle a suivi son cours hier lundi avec l’annonce de la liste des dix candidats qui s’opposeront au premier tour.
Comme annoncé la semaine dernière, Dominique de Villepin n’a pas reçu le nombre de parrainages suffisants pour prétendre être candidat.
Je suis aujourd’hui empêché de me présenter à l’élection présidentielle, faute des parrainages requis.
Je veux tout d’abord remercier chacun d’entre vous pour son engagement, son soutien et sa présence à nos côtés au cours des deux années écoulées depuis la fondation de notre mouvement. Le 19 juin 2010, vous avez répondu à l’appel de la refondation, du rassemblement et de l’indépendance nationale.
L’ancien Premier ministre Dominique de Villepin a confirmé vendredi qu’il ne disposait pas des 500 parrainages nécessaires pour se présenter à la présidentielle et lancé un appel à l’union nationale qui est selon lui inévitable à terme, une fois passés les scrutins du printemps.
Dominique de Villepin a annoncé ce soir qu’il ne sera pas candidat à la présidentielle, faute de parrainages. « Il reste encore une journée mais sauf miracle je n’aurai pas les 500 parrainages. Il nous en manque environ une trentaine. C’est aujourd’hui difficile mais le miracle républicain existe. »
« Nous nous battons, nous sommes sur le pied de guerre. » Au QG de campagne de Dominique de Villepin, jeudi 15 mars, on s’active. Il faut décrocher au plus vite les 500 parrainages nécessaires pour pouvoir concourir à l’élection présidentielle. « On arrive à avoir entre une et deux signatures par heures. » Le militant de République solidaire qui s’occupe du standard souffle enfin. Ce matin, le téléphone fixe du QG est tombé en rade pendant 2h.
Dominique de Villepin a bien du mal à obtenir ses 500 signatures. Il devait normalement faire le point aujourd’hui au 20 Heures de France 2, et annoncer très certainement son retrait, faute de parrainages suffisants. Son entourage l’en a dissuadé : quelques signatures peuvent encore arriver, notamment des Dom-Tom.
Dominique de Villepin peine toujours à rassembler ses derniers parrainages. L’ancien Premier ministre, qui exclut tout ralliement à un autre candidat, sera l’invité demain soir du 20 Heures de France 2.
Invité de RTL, l’ancien premier ministre a confié avoir réuni 460 sur les 500 parrainages nécessaires pour se présenter à l’Élysée. La quête des signatures a été compliquée par les rumeurs qui évoquaient, ce week-end, un ralliement de Dominique de Villepin à Nicolas Sarkozy.
Dominique de Villepin mène la dernière des batailles pour réunir les 500 parrainages nécessaires à sa candidature présidentielle d’ici vendredi, jour fatidique que l’entourage de l’ancien Premier ministre appréhende, même si l’espoir demeure.
« Nous avions la croissance, nous ne l’avons plus. Nous avions un esprit de solidarité, nous paraissons maintenant condamnés à voir les pauvres et les riches s’éloigner inexorablement les uns des autres, et appartenir à des mondes différents au sein d’un même pays. Nous vivions dans une société où les valeurs humaines étaient considérées comme les plus hautes, et l’argent devient le juge de tout.
Dominique de Villepin, candidat à la présidentielle, a démenti dimanche auprès de l’AFP les rumeurs de presse selon lesquelles il s’apprêterait à jeter l’éponge et à rallier Nicolas Sarkozy.
Selon le Journal du Dimanche, l’ancien Premier Ministre sera mercredi soir au JT de France 2 pour pousser un « coup de gueule » et indiquer ses intentions pour la suite de la campagne.
Interrogé par Frédéric Rivière sur son possible ralliement en cas d’échec dans l’obtention des 500 signatures, Dominique de Villepin esquive : « Je suis sensible à ce que dit François Bayrou, c’est un homme qui a du talent et de la délicatesse. Néanmoins, le ralliement ne fait pas partie de mon tempérament ».
L’ancien premier ministre Dominique de Villepin, candidat à la présidentielle, estime que le « virage à droite » de Nicolas Sarkozy ne peut pas être gagnant car « il ne correspond pas à l’attente des Français », dans un entretien paru mercredi dans Direct Matin.
« A l’heure ou j’écris ces lignes, je n’ai pas encore les parrainages d’élus nécessaires à ma candidature officielle. Les semaines qui viennent seront décisives pour ma campagne, mais pas seulement pour elle, parce que, au-delà de ma candidature, c’est un moment essentiel du débat républicain qui s’ouvre.
La situation est grave. Elle engage notre avenir, nous, Français, héritiers d’une grande nation, nous n’avons plus les moyens de ruser avec la réalité et de nous dérober à l’effort qui nous est demandé avec des demi-mesures.
Que pensent les candidats à la présidentielle de la liberté, de la nature, de l’Histoire… ? Pour un livre (1) à paraître le 7 mars, François Gauvin, collaborateur au Point, a rencontré, de novembre à fin janvier, les candidats à la présidentielle pour qu’ils se livrent à un exercice inédit : répondre à des questions strictement philosophiques.
Dominique de Villepin s’est interrogé sur les rapports de la morale et de la politique.
Cela devient aujourd’hui évident, il faudrait un miracle ou le coup de pouce d’un grand parti, ce qui revient sans doute au même, pour que Dominique de Villepin puisse se présenter devant les électeurs le 22 avril prochain.
L’homme du discours à l’ONU ne dispose guère que de 400 promesses et il ne reste plus que treize jours pour les transformer en 500 signatures fermes. La mission paraît désormais impossible. Un comble pour un ancien Premier ministre!
Dominique de Villepin à la rencontre des producteurs et des animaux. Le candidat de République Solidaire à l’Elysée était lui aussi à la Porte de Versailles vendredi où il a arpenté les allées du Salon de l’Agriculture.
Dominique de Villepin était, ce matin, l’invité de Gilles Leclerc dans l’émission « En route vers la présidentielle » sur Radio Classique et Public Sénat.
Retrouvez dans ce billet la vidéo de son intervention.
A moins de deux mois du premier tour de l’élection présidentielle, Dominique de Villepin entame la dernière ligne droite de sa campagne. Il était en déplacement ce mardi en Mayenne.
Dominique de Villepin a estimé que le PS veut « frapper trop fort » avec la proposition de François Hollande d’instaurer un taux d’imposition de 75% pour les très hauts revenus, préconisant plutôt la réintroduction d’une tranche à 60%.
Invité sur le plateau du 22h de Public Sénat lundi soir, Dominique de Villepin a réagi à l’actualité du moment et a commenté l’avancée de ses parrainages.
« J’ai beaucoup de mal à obtenir les parrainages », a-t-il reconnu, tout en assurant pourtant qu’il ira au bout « par devoir ».
En plaçant le citoyen au coeur de son programme, Dominique de Villepin entend se démarquer à droite, et s’inscrire dans la droite ligne du général de Gaulle.
Le Cercle Les Echos accueille pour la deuxième année les travaux des étudiants de l’Institut Français de Presse (IFP). Aujourd’hui, Dominique de Villepin se prête à l’exercice « Si j’avais 20 ans aujourd’hui ».
Qu’est-ce qui l’aurait révolté ? Quels engagements aurait-il pris ? Qui incarne le mieux la jeunesse ? Il répond aux questions de Jonathan Klein.
Toujours déterminé à se présenter à l’élection présidentielle, Dominique de Villepin etait, ce vendredi, à Pont-Sainte-Maxence (Oise), pour une visite axée sur le thème de la sécurité.
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