En Janvier 2012, la principale loge de la franc-maçonnerie française : le Grand Orient de France, ou GODF pour les intimes, a auditionné les candidats à la présidentielle.
Ainsi, Jean-Luc Mélenchon, Eva Joly, François Bayrou, François Hollande, Hervé Morin, Nicolas Dupont Aignan et Dominique de Villepin, ont défilé à la barre du temple du GODF.
Dominique de Villepin s’est rendu vendredi après-midi au Salon de l’apprentissage et de l’alternance. L’occasion pour l’ancien Premier ministre de tester sa popularité auprès des jeunes.
Jean-Pierre Grand, président de République Solidaire, a affirmé mercredi que l’obligation de travail pour les bénéficiaires du RSA qui va être expérimentée « s’inspire du Revenu citoyen proposé par Dominique de Villepin » mais juge le projet de ce dernier « plus sérieux ».
Jean-Pierre Grand, Député de l’Hérault et Président de République Solidaire, s’est adressé, ce mardi, au gouvernement au sujet de l’aide alimentaire aux plus démunis.
Bruno Le Maire, Ministre de l’agriculture, de l’alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l’aménagement du territoire, lui a répondu.
Invité par l’association Zy’Va, Dominique de Villepin participait ce vendredi à Nanterre à un débat sur le thème: « Quelles banlieues pour quelle République? »
Le président de République solidaire, Dominique de Villepin, a regretté mercredi sur son blog que « les résultats » de Nicolas Sarkozy sur la pauvreté, malgré « les engagements clairs » de 2007, ne soient « pas là », la crise ne pouvant, à ses yeux, « tout expliquer ».
Selon une étude de l’Insee mardi, 13,5% de la population était considérée en 2009 comme pauvre, c’est-à-dire vivant avec moins de 954 euros par mois, contre 13% en 2008. Un chiffre bien « en dessous » de la réalité de 2011, la situation s’étant depuis « considérablement aggravée », selon le Secours populaire.
Depuis quatre ans, Dominique de Villepin sillonne la France. Dans ce récit condensé, il réfléchit sur les causes profondes du pessimisme et du désarroi qui a saisi notre pays et avance quelques propositions iconoclastes pour le sortir d’une crise qui risque d’être mortelle. Il résume son livre à travers les quelques phrases ci-dessous :
Jean-Pierre Grand, député villepiniste de l’Hérault, était interrogé ce dimanche sur RTL sur la polémique autour du 14 juillet, suite aux propos d’Eva Joly (proposant le remplacement du défilé militaire par un « défilé citoyen ») et de François Fillon (reprochant à cette dernière de ne pas avoir « une culture très ancienne des traditions françaises, des valeurs françaises, de l’histoire française », compte tenu de sa binationalité franco-norvégienne).
L’ex Premier ministre Dominique de Villepin s’insurge sur son blog contre « les polémiques souvent sciemment entretenues, surjouées » à droite et à gauche, comme autant « de rideaux de fumée » au moment où « l’euro s’effondre » et « l’Etat se délite sous nos yeux ».
Dans ce billet intitulé « Polémix, candidat en 2012″, le président de République solidaire relève pour le déplorer qu’il « n’y a rien de plus urgent que de polémiquer sur le défilé du 14 Juillet », après la proposition de la candidate écologiste à la présidentielle Eva Joly de supprimer le défilé militaire de la Fête nationale.
L’ancien Premier ministre était en visite jeudi à Auch. L’occasion d’affirmer son mode de gouvernance et son intérêt à rencontrer les Français, y compris en milieu rural.
Les propos de Jacques Chirac affirmant, samedi, qu’il voterait François Hollande en 2012 continuent à faire des vagues.
« Jacques Chirac est un homme à la fois taquin, provocateur et surtout plein d’humour », a déclaré sur France Inter M. Villepin qui fut premier ministre de l’ancien chef d’Etat et un de ses plus proches conseillers comme secrétaire général de l’Elysée.
« Ce qui est sûr, c’est qu’il y avait quelque chose de pince-sans-rire » dans ses propos, a-t-il ajouté.
« L’UMP s’est réunie pour une convention sur la justice sociale, destinée à entériner ses coups de boutoir contre l’assistanat. Je veux apporter ma contribution à ce débat public. Parce qu’une question se pose bel et bien : sommes-nous en train de renouer avec la machine à perdre pour la France, à coups de débats stériles, de clichés, de chiffres faux et de sondages partiels?
La France a-t-elle un problème avec le travail ? Oui, c’est le chômage de masse. Sur dix Français, un n’a aucun travail et aucune perspective d’en décrocher un. Un deuxième, au chômage, cherche trop longtemps du travail. Un troisième voudrait vivre de son travail, mais doit se contenter d’un temps partiel, le plus souvent subi et d’un salaire inférieur à 750 euros. Un quatrième voudrait un travail stable, mais doit se contenter de contrats précaires, en CDD, en stage, en intérim. Un travail normal est le lot de moins en moins de gens en France : voilà le scandale.
Le président de République solidaire, Dominique de Villepin, a jugé mardi à propos du RSA que « l’UMP ressemble de plus en plus à ce parti dont on pouvait dire qu’il pose les bonnes questions mais qu’il apporte les fausses solutions », une allusion au FN.
Deux semaines après son déplacement à Denain, Dominique de Villepin était de retour dans le Nord ce lundi.
L’ancien premier ministre s’est rendu dans la maison natale du général De Gaulle, puis dans les locaux de l’entreprise de boulangerie Holder à Marcq en Baroeul, pour ce qui ressemblait fort à une étape d’un tour de France de Présidentiable…
Dominique de Villepin a déclaré qu’il ne voulait pas « participer à une aventure qui décevrait les Français », lors de son premier déplacement après la présentation de son projet.
Dominique de Villepin a visité lundi matin la Fonderie et acierie de Denain (FAD), avant de rencontrer des chefs d’entreprise des environs.
Il a défendu ses projets d’entrée des salariés dans les conseils d’administration des entreprises et de revenu citoyen. Même si les salariés ont davantage parlé de pénibilité au travail et les entrepreneurs, de fiscalité, Dominique de Villepin a posé énormément de questions et défendu la place de l’industrie en France.
« Notre pays est une terre d’immigration depuis ses origines. Mais elle est aussi le pays des droits de l’homme et elle doit rester une terre d’accueil.
Il y a quelques jours, un député a déclaré qu’il faudrait « remettre dans les bateaux les populations qui viennent de la Méditerranée ». Cette phrase n’est pas uniquement maladroite. Elle est scandaleuse car elle veut rompre avec notre tradition qui a toujours été de sauver les gens et non pas de les refouler !
« Pourquoi ne pas imaginer qu’au côté du président de la République française, pour les réunions officielles, protocolaires, les déplacements à l’étranger, figure, pendant un an, une personnalité féminine éminente, impliquée dans une grande cause concernant toutes les femmes de France (et cela, donc, cinq fois de suite).
Ce serait une formidable occasion de placer un projecteur, tant au niveau national qu’international, sur un enjeu majeur de société. Du coup, l’épouse du Président resterait l’épouse du Président à titre privé.
« Les peuples arabes nous tendent un miroir. Peut-on se réjouir de ce qu’on y voit ? Ecoutons ce qui se dit d’admiration, d’enthousiasme et de peur dans les rues, les cafés, à table en famille. Nous parlons d’eux, mais en fait nous nous posons des questions sur nous-mêmes.
Qui voulons-nous être ? La vérité, c’est que nous nous sentons perdus. La République est à bout de souffle. Cette révolution arabe est une main tendue. Nous pouvons la saisir ou nous pouvons la rejeter. Ecouter l’espoir ou la peur.
Ne prenons pas le risque d’un faux départ en imaginant déjà des flux incontrôlables, des théocraties meurtrières, un terrorisme déchaîné. Nous avons un destin commun, de part et d’autre de la Méditerranée et nous pouvons faire tomber des barrières érigées depuis près de cinquante ans, des mépris, des rancœurs, des cynismes. C’est le rôle de la France d’œuvrer à la réconciliation des deux rives. Il y a là-bas une formidable aspiration à la dignité. C’est le seul mot d’ordre.
Le député villepiniste Jacques Le Guen a demandé lundi au gouvernement de lancer une enquête sur la hausse des prix des carburants, soupçonnant les compagnies pétrolières de tirer profit de la situation.
« On ne peut pas défendre la France sans la goûter », aime à répéter Dominique de Villepin. Au Salon de l’agriculture, mercredi, l’ancien Premier ministre applique sa maxime au pied de la lettre. Dès son arrivée, à 10 h 30, il trinque à la bière et au vin blanc, engloutit fromage et charcuterie. « Je suis un fervent goûteur de cochon », affirme le président de République solidaire à deux femmes arborant fièrement les couleurs de la confrérie du cochon de Bayeux.
Accompagné de l’ex-ministre de l’Outre-Mer Brigitte Girardin et de trois députés, Dominique de Villepin est parti pour une véritable visite marathon de « la plus grande ferme de France ». Comme autrefois son mentor Jacques Chirac, il arpente les allées du salon parisien de la Porte de Versailles pendant près de six heures. Une manière d’afficher sa proximité avec le monde rural – l’une des deux mamelles du villepinisme avec les banlieues.
Attendu à Lyon mardi sur les questions de politique de la Ville, Dominique de Villepin est longuement revenu sur la « frilosité » de la diplomatie française dans l’accompagnement des mouvements démocratiques qui touchent les pays du Maghreb.
Dans la matinée, le Président de République Solidaire avait publié un communiqué dénonçant le « régime assassin » du colonel Kadhafi en Lybie.
« Le Président de la République a choisi une nouvelle fois d’instrumentaliser un fait divers particulièrement horrible, le meurtre de la jeune Laëtitia à Pornic, pour demander des sanctions contre les magistrats et les fonctionnaires.
Face à de tels crimes, la fermeté et la rigueur de la réponse pénale sont certes indispensables, mais comment peut-on mettre en cause la Justice quand on refuse de lui donner les moyens nécessaires à son fonctionnement ? Tous les débats de ces dernières années ont faire ressortir le manque de magistrats –notamment sur les postes de juge d’application des peines- et l’extrême faiblesse des capacités de suivi des personnes souffrant de troubles psychiques à leur sortie de prison comme en période de détention.
Jeudi prochain 3 février, Dominique de Villepin sera à Marmande (Lot et Garonne) pour débattre autour des thèmes de la santé et de la dépendance.
C’est l’ancien Premier ministre qui a, lui-même, sollicité cette rencontre avec des gens de terrain, dans le cadre de ses propres travaux sur ces thèmes de la désertification médicale et de la dépendance
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