Daniel Garrigue, qui avait quitté avec fracas l’UMP il y a bientôt deux ans, a été l’un des fondateurs, avec une dizaine de parlementaires, de République Solidaire.
Dominique de Villepin persiste et signe, dit être l'interprète d'une majorité de Français, Réactions de son entourage
Dominique de Villepin a réitéré lundi soir ses propos sur Nicolas Sarkozy, qu’il avait qualifié la veille de « problème » pour la France, en se disant « l’interprète » de ce « que pensent une majorité de Français ».
Sarkozy-Villepin: chronique d'une sale guerre
Entre le chef de l’Etat et l’ancien premier ministre, le combat ne connaît pas de trêve. Rendez-vous à l’élection présidentielle?
Giscard et Chirac vus par Dominique de Villepin dans "De l'esprit de cour, la malédiction française"
Dans « De l’esprit de cour, la malédiction française », l’ancien Premier ministre jette un regard acéré sur les comportements de Valéry Giscard d’Estaing. Il évoque aussi ses rapports avec Jacques Chirac. L’Express vous en offre les bonnes feuilles.
Dominique de Villepin dans "De l'esprit de cour, la malédiction française": Sarkozy et sa "cour apeurée de perroquets"
Dans son nouvel ouvrage « De l’esprit de cour, la malédiction française », l’ancien Premier ministre jette un regard acéré sur les comportements de Valéry Giscard d’Estaing et de Nicolas Sarkozy. Il dissèque leur style dans des mots souvent durs. L’Express en offre les bonnes feuilles.
Public Sénat: Dominique de Villepin "partie prenante" en 2012
L’ancien premier ministre Dominique de Villepin a fait un pas de plus en direction de sa candidature à la présidentielle en expliquant qu’il ne voyait pas aujourd’hui ce qui pourrait l’empêcher de se présenter en 2012.
Dominique de Villepin, "une partie de l'UMP"
L’homme politique continue d’adhérer au parti majoritaire, malgré ses désaccords avec Sarkozy. Explications.
Les vérités de Dominique de Villepin
Labourage et pâturage ne sont plus en 2010 les deux mamelles de la France mais Dominique de Villepin, discrètement, creuse son sillon.
L’ancien Premier Ministre parcourt le pays pour aller au contact des Français et asséner « ses vérités ».
Les villepinistes croient toujours à un groupe indépendant à l'Assemblée
Les députés villepinistes veulent toujours constituer un groupe indépendant de l’UMP, même s’ils n’ont pas pu atteindre le seuil requis des 15 élus au 1er octobre, date du début de la session parlementaire ordinaire.
Présidentielle : les défis de Dominique de Villepin
L’ancien Premier ministre, en déplacement vendredi à Montpellier, intensifie sa campagne, convaincu qu’il peut profiter du climat politique. Mais sa tâche reste ardue.
Les jeunes villepinistes lancent le mouvement des Jeunes Solidaires
Dominique de Villepin : Forum des Jeunes Solidaires
envoyé par clubvillepin
Photos Reuters et AFP
Lors du premier forum des Jeunes Solidaires, Dominique de Villepin a invité les jeunes à s’engager.
« Je souhaite que vous puissiez connaître jeune les responsabilités, que vous connaissiez jeune l’élection, n’attendez pas 55, 56 ans », a dit dans un sourire l’ancien Premier minstre.
Retraites: les villepinistes s’abstiennent
Rappel au règlement de Daniel Garrigue
envoyé par LEXPRESS
Le député villepiniste Daniel Garrigue (non-inscrit) n’a pas pu s’exprimer avant le vote sur la réforme des retraites, suite au refus du Président de l’Assemblée nationale, Bernard Accoyer.
Réagissant à la suppression des explications de vote pour les députés, le député de la Dordogne n’a pu interpeler Bernard Accoyer qu’à l’issue du vote. Daniel Garrigue lui a rappelé le règlement de l’Assemblée Nationale, ainsi que plusieurs articles de la Constitution.
« Vous ne pouvez pas préjuger à l’avance de la position que vont exprimer les 140 parlementaires qui étaient inscrits », a fustigé l’élu de Dordogne, critiquant l’interprétation du règlement par le président de l’Assemblée.
« Vous êtes sortis du domaine du droit. Dans ce domaine comme dans beaucoup d’autres, vous êtes entrés dans le domaine de l’arbitraire ! », a-t-il conclu, sous les applaudissements d’une partie de l’hémicycle.
Dominique de Villepin réclame un nouveau 1er ministre
Villepin : « une pagaille » à la tête de l'Etat
envoyé par Europe1fr
L’ancien premier ministre de Jacques Chirac, Dominique de Villepin, a demandé mardi sur Europe 1 que le prochain remaniement prévu cet automne, marque le retour d’un Premier ministre « capable d’exercer son autorité ».
République Solidaire: abstention sur les retraites et création d'un groupe à l'Assemblée
Les députés de l’UMP partisans de l’ancien Premier ministre Dominique de Villepin s’abstiendront mercredi lors du vote du projet de loi de réforme des retraites. Ils également veulent franchir un pas de plus vers le divorce avec Nicolas Sarkozy en créant un groupe indépendant de l’UMP à l’Assemblée nationale.
Quand Villepin se paie Sarkozy (2/2)
La suite des passes d’armes entre le Président de République Solidaire et le Président de la République.
Quand Villepin se paie Sarkozy (1/2)
Dominique de Villepin dénonce le plan sécuritaire du président de la République. Le dernier épisode d’une longue série de passes d’armes.
Objectif des villepinistes: un groupe à l'Assemblée le 1er octobre, par Marine Turchi (Mediapart)
Les proches de Villepin sont persuadés que « les dérives sécuritaires » du gouvernement ont braqué une partie de l’UMP et comptent en profiter pour constituer un groupe indépendant avec François Bayrou et Nicolas Dupont-Aignan à l’Assemblée nationale avant le 1er octobre.
Tribune de Dominique de Villepin dans Le Monde: Une tache de honte sur notre drapeau
« Il aura suffi d’un discours à Grenoble et d’un été, d’un seul été, pour que tout bascule, de la lutte contre l’insécurité à l’indignité nationale. Je dis bien « nationale » car le président de la République nous engage tous. Et si on en doutait, il suffirait alors de lire la presse étrangère, des Etats-Unis à l’Inde en passant par les journaux européens, pour mesurer l’effarement devant le visage méconnaissable de la patrie des droits de l’homme. Il suffirait d’écouter les voix qui s’élèvent du Comité de l’ONU pour l’élimination de la discrimination raciale pour condamner la recrudescence raciste et xénophobe.
Jean-Pierre Grand: "Si l'UMP devient un FN bis, ce sera sans nous"
En comparant les démantèlements de camps roms à des « rafles », le député villepiniste de l’Hérault, Jean-Pierre Grand, a, semble-t-il, commis aux yeux de ses amis UMP le sacrilège de trop.
Selon le Midi Libre, plusieurs élus de son département auraient pris la plume pour lui demander « de rentrer dans le rang ou de quitter le mouvement, à partir du moment où il n’en partage pas les grandes lignes ». Le député Jacques Domergue, candidat malheureux à la mairie de Montpellier, et le sénateur-maire de Béziers, Raymond Couderc, figureraient parmi les signataires du courrier.
Le pied de nez de Dominique de Villepin à l'UMP
Dominique de Villepin, président de République Solidaire, a renouvelé son adhésion à l’UMP, a-t-on appris mercredi auprès du secrétaire général du parti majoritaire, Xavier Bertrand, confirmant une information du Figaro.fr.
Le patron de l’UMP a expliqué avoir reçu un courrier à son attention le 30 juillet dans lequel l’ancien Premier ministre (2005-2007) a joint sa contribution, soit un chèque de 100 euros. La cotisation simple à l’UMP s’élève à 25 euros.
« Il y a joint une lettre dans laquelle il appelle à des réponses importantes face à l’inquiétude grandissante qu’il note en France et également une copie d’une tribune qu’il avait publiée dans Mediapart » intitulée « Répondre à l’appel de la France« , a précisé Xavier Bertrand.
Les députés villepinistes veulent s'affranchir de l'UMP
Les cadres de République solidaire pensent être en mesure de créer à l’Assemblée un groupe indépendant de l’UMP. François Bayrou et Nicolas Dupont-Aignan se disent prêts à leur apporter leur aide.
Députés et villepinistes, ou la tentation de "l’autre rive"
« On est déjà sur l’autre rive. » La formule est de Marie-Anne Montchamp, Députée (UMP) du Val-de-Marne et porte-parole de République Solidaire (RS), le parti récemment créé par Dominique de Villepin. Le petit noyau de députés villepinistes – ils ne sont guère plus de sept ou huit – se sent de plus en plus corseté au sein du groupe UMP.
« Former un groupe devient une quasi-obligation », ajoute la députée. Ce qui n’était encore qu’une hypothèse évoquée du bout des lèvres, que certains se refusaient même à imaginer, apparaît presque, aujourd’hui comme une nécessité.
Sur Public Sénat, Marie-Anne Montchamp laisse entrevoir la création d'un groupe villepiniste à l'Assemblée Nationale
Un groupe République solidaire à l’Assemblée nationale ? Après le lancement du mouvement de Dominique de Villepin le 19 juin dernier, les députés villepinistes pourraient se réunir en un groupe politique au sein de l’Assemblée. Pas assez nombreux pour former un groupe, dont le seuil est fixé à 15 députés, ils font des appels du pied à François Bayrou et Nicolas Dupont-Aignan. Objectif : Faire entendre leurs voix et peser dans le débat.
Si l’existence de ce groupe politique reste pour l’instant au « conditionnel », selon Marie-Anne Montchamp, députée et porte-parole de République solidaire, sa création pourrait intervenir à la rentrée. Entretien.
Jacques Chirac et le devoir de mémoire, par Philippe Bas (2/2)
Ce discours laissait bien sûr présager de ce que seraient ses réactions deux ans plus tard, lorsque les Etats-Unis, ignorant superbement le refus des Nations Unies de les mandater au titre de la sécurité collective, envahiraient l’Irak. La position courageuse qu’il fera prendre à notre pays, notamment avec l’Allemagne et la Russie, mais aussi avec le Pape, permettra de témoigner en faveur d’une vision du monde qui n’oppose pas entre elles les civilisations, ne postule pas l’inéluctabilité du conflit entre islam et occident chrétien, refuse de tenir pour acquis l’antagonisme entre pays riches et pays pauvres.
Jacques Chirac et le devoir de mémoire, par Philippe Bas (1/2)
Le 16 juillet 1995, seulement deux mois après son élection à la présidence de la République, comme s’il y avait urgence à ses yeux, Jacques Chirac, commémorant la grande « rafle du Vel d’Hiv » et la déportation de 76 000 Juifs de France, reconnaissait au nom de la Nation, de toute l’autorité dont il était nouvellement investi, ce qu’aucun Président avant lui n’avait osé admettre publiquement, pas même de Gaulle, pas même Mitterrand, surtout pas de Gaulle, surtout pas Mitterrand.
Que « Oui, la folie criminelle de l’occupant a été secondée par des Français, par l’Etat français. » Que « La France, patrie des Lumières et des Droits de l’Homme, terre d’accueil et d’asile, la France, ce jour-là, accomplissait l’irréparable. Manquant à sa parole, elle livrait ses protégés à leurs bourreaux. »
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