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Dominique de Villepin en campagne à Argenteuil

Dominique de Villepin s’est rendu vendredi matin à Argenteuil, dans le Val d’Oise.

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Les photos de Citizenside

Photos – Dominique de Villepin prend un bain de foule à Argenteuil.

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Ces jeunes des cités qui votent Villepin

Il y a un peu plus de six ans, il décrétait l’état d’urgence dans les cités frappées par les émeutes urbaines. Mais aujourd’hui, chaque fois qu’il se déplace en banlieue, Dominique de Villepin reçoit le même accueil : sourires, baisers, et parfois même youyous de joie!

Vendredi dernier à Argenteuil (Val-d’Oise), malgré le froid, une quinzaine de jeunes issus de l’immigration portant des tee-shirts « République solidaire » jouaient les accompagnateurs du candidat à la présidentielle qu’ils trouvent « trop stylé »…

A Corbeil (Essonne), Azdine Ouis, 33 ans, a créé, avec son association Banlieue de Villepin 2012, des canettes de boisson vitaminée et des pin’s à l’effigie de l’ancien Premier ministre et se targue d’avoir fait inscrire « plus de 5000 personnes » sur les listes électorales.

Morhad Lagharari, 30 ans, chef d’entreprise à Beauvais (Oise), n’a pas hésité, lui, à racheter une voiture bleue à la gendarmerie nationale pour la transformer en « villepinmobile » et faire campagne!

Pour ces ex-enfants des cités, qui avaient déjà assuré le succès du meeting fondateur de République solidaire à Paris il y a deux ans, Dominique de Villepin est d’abord « l’homme du discours de l’ONU », qui dit non à la guerre en Irak en 2003. « On est fier de ça : il a fait preuve de courage face à l’impérialisme américain », affirme Azdine Ouis.

Sa condamnation de l’attaque par Israël de la flottille humanitaire pour Gaza en juin 2010 a aussi marqué les esprits. « Mes sept frères et sœurs vont voter pour lui à cause de ce qu’il a dit sur la Palestine », témoigne une militante socialiste de Mantes-la-Jolie (Yvelines).

Il a l’image d’une victime du président sortant

Mais, auprès de ces nouveaux fidèles, Villepin apparaît aussi et surtout comme l’adversaire résolu du président de la République. « La détestation de Sarkozy est immense dans les quartiers, analyse le sociologue Didier Lapeyronnie*. Les émeutes de 2005 étaient des émeutes anti-Sarkozy et les gens ont l’impression qu’il s’est fait élire sur ces questions des banlieues. »

Depuis l’affaire Clearstream, ils ont cru reconnaître en Villepin une victime de Sarkozy, comme eux-mêmes s’estiment victimes du président sortant. « En 2005, pendant la crise des banlieues, il n’a pas matraqué les jeunes, se souvient Massinissa Daou, jeune villepiniste du Val-de-Marne. Il a calmé le jeu, au lieu de ramener la police. Il a agi un peu comme un grand frère ou un père. »

Azouz Begag, ancien ministre et actuel soutien de Villepin, confirme : « Tous ces jeunes ont été salis par la phrase sur les racailles de Sarkozy, et se sentent respectés, restaurés par Villepin. »

Enfin, le fait qu’il soit né à Rabat (Maroc) rapproche aussi le candidat de la communauté musulmane. « Ça lui donne une sensibilité particulière, il a vu qu’on peut vivre ensemble », affirme Assia Meddah, élue de banlieue et membre de l’équipe de Villepin.

Morhad Lagharari le résume à sa façon : « Il est le seul à pouvoir rassembler à la fois les Parisiens du XVIe arrondissement et les Arabes ! »

* Auteur notamment de « Ghetto urbain, ségrégation, violence, pauvreté en France aujourd’hui » (Robert Laffont, 2008).

Source: Nathalie Segaunes (Le Parisien)

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Dominique de Villepin à Argenteuil pour parler banlieue

Est ce que Dominique de Villepin a voulu faire un pied de nez à Nicolas Sarkozy en allant à Argenteuil (Val d’Oise) ? Pas vraiment… Il s’agissait seulement d’une nouvelle étape dans sa campagne discrète mais continue. Vendredi matin, l’ancien Premier ministre a choisi cette ville emblématique pour y évoquer ses propositions pour les banlieues.

Nicolas Sarkozy n’y est retourné qu’une fois loin des caméras

Cette commune proche de Paris essaie de se débarrasser cette image emblématique qui lui colle à la peau, à cause de Nicolas Sarkozy.

Il y a certes des quartiers populaires mais un épisode a particulièrement marqué les esprits. C’est ici qu’en 2005, lors d’une déplacement nocturne, le Président de la République, alors ministre de l’Intérieur s’était retrouvé au coeur d’une polémique en déclarant : «Vous en avez assez de cette bande de racailles ? Eh bien on va vous en débarrasser». Une déclaration qui avait alors soulevé une vague d’indignation dans les banlieues qui se sont senties stigmatisées. Depuis le Président de la République qui avait promis d’y revenir, n’y est retourné qu’une fois le 19 décembre dernier en visite «off», pour revoir Martine Millet, une infirmière rencontrée dans une émission télévisée sur TF1. Mais il n’a jamais remis un pied sur la Dalle, la place au coeur de la cité, devenue un lieu de «tourisme politique» comme le dénoncent les élus locaux.

« Il ne m’a pas demandé mon parrainage », s’amuse le maire socialiste

Dominique de Villepin n’a pas succombé à la tentation de provoquer Nicolas Sarkozy en se promenant ce vendredi avec des caméras sur la Dalle. Le Chiraquien historique y a préféré le tranquille marché Héloise, pour une sortie plus classique. Accompagné d’Azouz Begag, ancien ministre -en conflit ouvert avec Nicolas Sarkozy-, il a également rencontré Philippe Doucet, le maire … socialiste de la ville. Un entretien dans «la pure tradition républicaine» avec un ancien Premier ministre, selon l’édile. «Personne ne doute de mes convictions, s’amuse Philippe Doucet, un des représentants de François Hollande dans le Val-d’Oise. Je ne lui donnerai pas mon parrainage, qu’il ne m’a d’ailleurs pas demandé».

« Il y un problème de méthode en banlieue » selon Villepin

Le déplacement s’est terminé par un déjeuner avec une poignée d’entrepreneurs. En simultané, le candidat listait sur son compte twitter une liste de propositions pour la banlieue : «Mettre en place de véritables maisons de service public pour que l’Etat y soit encore plus présent qu’ailleurs, allouer plus de moyens éducatifs en incitant par exemple statutairement et financièrement les enseignants, passer d’une logique de zones prioritaires à un accompagnement ciblé des élèves en difficulté, de 3 à 18 ans…». «Il y un problème de méthode pour régler les problèmes que rencontrent nos banlieues, critique-t-il, proposant de développer des conseils de quartier. Un système déjà mis en place dans la ville.

Source: Le Parisien

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Villepin défend la « cohésion sociale »

En déplacement vendredi à Argenteuil, Dominique de Villepin, qui se qualifie lui-même de candidat à 1% dans les sondages », a défendu son rôle de rassembleur et a prôné, en matière de laïcité ou d’intégration, le dialogue plutôt que la loi.

Du poisson, du crumble aux fruits rouges, quelques carafes de vins dont seulement trois ont été entamées dans le coin de table où se trouvaient des journalistes. Vendredi, ce n’est pas le menu du déjeuner entre Dominique de Villepin et les responsables des principaux cultes religieux qui a fait débat. Avec pour thématique la laïcité, les échanges, consensuels à l’entrée, se sont transformés en joute sur la place de l’islam dans les quartiers au dessert. Avec le candidat et son soutien politique du jour, l’ancien ministre Azouz Begag, pour arbitres des duels successifs entre participants.

Un peu plus tôt, l’ancien Premier ministre a déambulé sur la dalle d’Argenteuil, un « quartier » de la banlieue parisienne qui avait été au centre de l’actualité en 2005, quand Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur, avait déclaré à une habitante : « Vous en avez assez de cette bande de racailles? Et bien, on va vous en débarrasser. » Par -3°C, soit une température ressentie de -9°C, l’ancien Premier ministre a donc déambulé dans les allées du marché Héloïse d’Argenteuil, serré des mains et parlé « météo » avec le poissonnier local. Avant de rejoindre la cantine du Mouvement des entreprises du Val-d’Oise (Mevo) pour débattre laïcité, intégration et banlieues.

Dans l’assistance, composée pour sa majorité de représentants du culte musulman, il est d’abord question de pointer le bilan du « plan banlieues » qu’avait lancé Fadela Amara en 2008. S’adressant directement à Azouz Begag, symbole de la diversité au gouvernement quand Dominique de Villepin était aux commandes, un participant tacle « le discours des hommes politiques qui ne se concrétisent pas dans les faits ». Le candidat peine à imposer des idées qui, selon les associations présentes, « existent déjà dans les faits ». Il en est conscient et reconnaît qu’il faut « davantage soutenir les associations, les projets déjà en place » plutôt que « l’Etat impose des plans du haut vers le bas ».

« Un code de la laïcité flexible »

Le candidat tient un discours analogue sur la laïcité. Face aux tensions interreligieuses, il veut rassembler, « travailler pour plus de cohésion sociale ». Un slogan dans la continuité de « la fracture sociale », qui avait permis à Jacques Chirac de se faire élire en 1995. « Je ne suis pas favorable à une législation sur un fait religieux en dehors toutefois du cadre scolaire », a-t-il déclaré. Exit donc l’inscription de la laïcité dans la Constitution, mesure voulue par François Hollande.

Dominique de Villepin se veut plus « flexible » avec « un code de la laïcité » qui permettrait au ministre de l’Intérieur, chargé des cultes, et au président de la République d’arbitrer les « conflits spécifiques ». Une mesure plutôt floue que, devant des journalistes, le candidat se doit de préciser : « Ce code fixerait des règles, qui ne seront pas immuables, sur le financement – privé – des lieux de culte, sur la formation des imams… » Rapidement, le concret est chassé par les envolées lyriques du candidat.

Liant l’éducation (« notre trésor national »), l’immigration et les banlieues, il réfute en conclusion son manque de légitimité à briguer la présidentielle : « Pourquoi est-ce que je m’emmerde à faire de la politique? Pour quelle reconnaissance? Pour 1% dans les sondages? Non, je veux porter un message : on n’est pas tous bon dans les mêmes choses. Il faut donc s’unir face à la crise. » S’il n’a pas livré un message limpide, Dominique de Villepin a en tout cas réaffirmé sa volonté obstinée de rassembler.

Source: Gaël Vaillant (Journal du Dimanche)

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Présidentielle : Villepin parle banlieue à Argenteuil

Si le Président de la République, vieil ennemi de Dominique de Villepin, ne veut plus y retourner après ses propos de 2005 (« vous en avez assez de cette bande de racailles? »), ce n’est pas le cas du candidat de République Solidaire qui était à Argenteuil aujourd’hui pour parler banlieue et insécurité.

Mais promis, ce n’était pas un déplacement en forme de provocation face au chef de l’état. Préférant ne pas visiter le lieu où l’ancien ministre de l’intérieur a proféré les propos indignes, le candidat gaulliste s’est promené marché Héloise, en compagnie de son soutien Azouz Begag.

Il a également rencontré le maire socialiste de la ville « dans la plus pure tradition républicaine » ainsi que des entrepreneurs pour un déjeuner convivial pendant lequel le Dominique de Villepin a pu développer ses propositions en matière de banlieue devant son auditoire, et aussi en simultané sur Twitter : « mettre en place de véritables maisons de service public pour que l’Etat y soit encore plus présent qu’ailleurs, allouer plus de moyens éducatifs en incitant par exemple statutairement et financièrement les enseignants, passer d’une logique de zones prioritaires à un accompagnement ciblé des élèves en difficulté, de 3 à 18 ans etc ».

Source: Jennifer Declémy (Paris Dépêches)

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Dominique de Villepin sur la dalle d’Argenteuil

L’ancien Premier ministre entend démontrer qu’il peut se rendre en banlieue sans crainte, à l’inverse de Nicolas Sarkozy.

Le lieu n’a pas été choisi au hasard. C’est à Argenteuil qu’en 2005, Nicolas Sarkozy alors candidat à la présidentielle de 2007, a déclenché une tempête médiatico-politique en défiant les « racailles ».

Source: Le Point

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Le président des jeunes de Villepin démissionne

Le responsable national des Jeunes Solidaires, du mouvement créé par Dominique de Villepin en juin 2010, Sidi Sakho, a annoncé sa démission, vendredi matin. S’il déclare dans un communiqué « avoir beaucoup appris » au côté de l’ancien Premier ministre, il se dit « convaincu qu’un engagement politique libre et sincère ne peut se faire qu’en dehors de toute entrave partisane ». « L’expérience qui touche à sa fin était complexe, mais enrichissante », ajoute le jeune homme.

Depuis qu’il a annoncé sa candidature à la présidentielle au mois de décembre, à la surprise générale, Dominique de Villepin n’avait plus été confronté aux départs à répétition de ses troupes, à l’exception de celui de Christophe Carignano, son responsable Internet. En 2011, plusieurs cadres avaient quitté leurs fonctions à cause du manque d’échange et de communication au sein du parti.

Source: Le Point

10 Commentaires

  1. charles

    DDV à Argenteuil.
    10h00 – Rencontre avec le maire d’Argenteuil Philippe Doucet.
    10h30 – Déplacement dans le marché d’Héloïse, plus important d’Argenteuil.
    12h00 – Départ pour un déjeuner privé.
    Rendez-vous 10h00 devant la mairie.
    _____________________________
    Il y faut un discours devant la Mairie (à 18H00 ce serait mieux) avec grosse sono et grand décorum, je veux entendre au journal de 20H00 de TF1 que « Mr Sarkozy a ruiné le Pays », comme deux autres avant lui, que « la Dette est impardonnable, cette bonne-vie française sur le crédit », « que Mr Sarkozy est le meilleur Directeur de Pôle-Emploi », une entreprise française très ruineuse pour nous tous. « Que le froid sec est donc venu ».. Le gel, après la neige. Il n’y aura pas de printemps.. pour ce dernier.

    Aucun gaulliste,
    mort ou vif,
    ne va voter pour lui.
    Ce sera l’échec après l’Echec.
    Et après l’Echec,
    ce sera encore l’Echec des députés-amis.

  2. Christiane

    Que Sidi Sakho ne veut plus assumer son rôle de responsable Jeunes Solidaire, c’est son droit. Mais pourquoi éprouve t’il le besoin d’étaler ses états d’âme dans une presse hostile à DdV ?
    Et lorsque l’on s’engage dans un mouvement politique pour soutenir une candidature à l’élection présidentielle, que signifie « entrave partisane » ? Il y a très certainement une autre explication à sa désertion en pleine campagne électorale….

  3. Miss Nicopéia

    Le Point pourrait être un peu honnête en précisant que si certains ont quitté le cadre du MOUVEMENT, ils n’ont pas forcément quitté Dominique de Villepin: c’est la cas de Christophe Carignano qui s’ en était expliqué dans la presse, ce qu’il est bon de rappeler à l’intention de ceux qui l’ignorent. C. carignano n’a pas quitté DDV, loin de là. Donc , une fois de plus, l’information (tronquée) est tendancieuse.

    NB: le Point dépend de la financière Pinault, copain de qui vous savez.

  4. Sonatine

    On n’osera bientôt plus venir sur le site, dans l’angoisse perpétuelle de nouveaux scoops
    négatifs pour DDV.
    Que s’est-il passé exactement depuis le 19 Juin 2010 où il était pratiquement adoubé par
    le plus grand nombre ? QUI SAURA …………

  5. chantal

    Evidemment que Sarkozy a ruiné le pays ; une dette de 500 milliards de plus, en cinq ans
    seulement, mais aussi :
    Voici ce qu’écrivait l’article de presse en Allemagne que l’on ne verra jamais en France .
    « Sarkozy lbt wie Gotti Frankreich » ( « Sarkozy comme Dieu en France ») .
    Traduction
    8 avions ,61 voitures de fonction, 1000 employés à son service !
    Toute la France est touchée par les mesures de récession
    Toute la France . Une personne ne joue pas le jeu : le président Sarkozy ( 57 ans ).
    -Le budget de la Présidence a toujours été tenu secret en France ; pour la première fois il est révélé sous NS .

    Dans les plus de 300 mètres carrés de l’appartement de fonction des Sarkozy, les fleurs doivent être changées en permanence : coût 280 000 euros par an .
    Lorsque NS voyage à titre privé, un avion gouvernemental vide l’accompagne en permanence, afin de lui permettre de rentrer à Paris si il le souhaite !
    IL dispose de 2 Airbus et 6 avions Falcon-Jet . Le dernier avion en date ( 60 millions d’euros ) a été baptisé « Carla ».

    Dépenses annuelles pour les boissons de luxe ( champagne, vin « datant du XIX ème siècle », whisky ) etc… plus de 1 million d’euros par an !
    IL a deux fois plus d’employés à son service que la Reine d’Angleterre ; parmi eux 44 chauffeurs et 87 cuisiniers ?!
    Les cuisiniers-chefs peuvent se servir librement dans les caves à vin du Palais de l’Élysée,
    le repas de midi est servi par des laquais.
    Carla et Nico peuvent commander de la nourriture ou des boissons 24 heures sur 24 . La cuisine est en service en permanence !

    Indignation ! protestation ?
    Pas du tout . En France il semble être une affaire d’honneur que le chef de l’état incarne la « gloire de la nation ».
    IL est le successeur du Roi Soleil . Et c’est exactement comme tel qu’il vit .

  6. Jany

    @chantal: il est loin le temps où le locataire de l’Elysée payait son électricité! Le monde politique a bien changé.
    @Christiane et Miss Nicopéia: Sidi Sakho est libre mais le ménage doit se faire en interne. On sait très bien que la presse va s’en emparer et bien sûr l’information sera faussée.
    Et là il dessert DDV qui fait tout son possible pour être médiatisé par ses multiples interventions sur les antennes de radio et de télévision.

  7. Miss Nicopéia

    @ Jany, d’accord avec vous: le ménage doit se faire en interne. Remarquez que ci-dessus j’ai mentionné C. Carignano mais pas Sidi Sakho. Si j’insiste parfois sur la mauvaise foi de la presse, c’est parce que tout le monde ne se rend pas compte de ce dont nous sommes conscients, nous: de sa servilité .
    Souvenons-nous que c’est l’union qui fait la force.

  8. Jany

    Le JDD comme d’habitude a une façon toute spéciale de relater cette visite !

  9. Miss Nicopéia

    Le JDD = Lagardère…..ben voyons!

  10. Sonatine

    Certes,, il est un peu difficile d’entendre DDV se qualifier lui-même de candidat à 1% dans les sondages , cela peut traduire une certaine amertume qui ne laisse pas insensible.
    Quoi qu’il advienne dans les mois à venir, les médias dans leur ensemble auront réussi
    leur triste besogne commandée d’où l’on sait afin de ternir la campagne d’un homme d’état
    très au delà du niveau politique actuel, et la France va vraiment commencer sa navigation
    à vue pour très longtemps, souhaitons lui seulement d’éviter le naufrage.

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