Dominique de Villepin fait état de son « amitié » pour Jean-Louis Borloo, son « respect » pour François Bayrou, son « estime » pour François Hollande et son « affection » envers Alain Juppé, appelant de nouveau à « un rassemblement national », auquel il oppose « la solitude » de l’Elysée.
Pour une France citoyenne avec Dominique de Villepin (3/3): Faire émerger une éco-citoyenneté
Nous proposons de placer le citoyen au coeur d’un modèle de consommation responsable et de respect de l’environnement.
Pour une France citoyenne avec Dominique de Villepin (2/3): Refonder le statut du citoyen en lui fixant de nouveaux devoirs
Nous proposons de refonder le statut du citoyen en lui fixant de nouveaux devoirs.
Pour une France citoyenne avec Dominique de Villepin (1/3): Refonder le statut du citoyen en lui redonnant des droits
Dans la société française d’aujourd’hui, c’est le sentiment de solitude et de perte du lien social qui prédomine. En stigmatisant les uns ou les autres, en divisant les Français, des coups de canifs ont été régulièrement donnés ces dernières années à notre pacte social et républicain, alors qu’il est plus que jamais nécessaire de nous rassembler.
Nous voulons retrouver un projet collectif en rendant à la citoyenneté toutes ses dimensions de dignité, de solidarité et d’engagement au quotidien.
Nous proposons de refonder le statut du citoyen en lui redonnant des droits.
Présidentielle 2012: Jean-Louis Borloo jette l'éponge
Invité dimanche soir sur TF1, Jean-Louis Borloo, président du Parti radical et leader de l’Alliance des centres, a annoncé qu’il renonçait à une candidature pour la présidentielle de 2012.
Dans un communiqué, le président du mouvement République solidaire lancé par Dominique de Villepin, Jean-Pierre Grand, a indiqué qu’il trouvait cette décision «logique dans la mesure où il a participé à quasiment tous les gouvernements de Nicolas Sarkozy».
«Le courant politique qu’il représente, républicain, social, humaniste, se retrouvera tout naturellement aux côtés de Dominique de Villepin», poursuit-il.
Election à la présidence du Sénat: le socialiste Jean-Pierre Bel, deuxième personnage de l'Etat
Le socialiste Jean-Pierre Bel a été facilement élu samedi président du Sénat dès le premier tour de scrutin. Il a obtenu 179 voix, soit la majorité absolue des suffrages exprimés (172) plus sept voix. Le président sortant, l’UMP Gérard Larcher, a recueilli 134 voix. La candidate centriste, Valérie Létard, a réuni 29 suffrages. Cinq sénateurs de l’ancienne majorité sénatoriale ont voté blanc ou nul.
Dans son premier discours, le nouveau président du Sénat a indiqué que l’opposition serait respectée. «Je ne serai jamais là pour servir un clan ou une clientèle», a-t-il affirmé.
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