Nous proposons de donner à chaque citoyen des garanties essentielles pour assumer sa vie sociale.
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La garantie d’une école juste et efficace
Chaque élève devra être suivi dans un parcours continu de 3 ans à 18 ans grâce à des cités scolaires qui réuniront sous une direction commune tous les établissements ayant la responsabilité des mêmes élèves. Il s’agira d’une nouvelle forme de carte scolaire et d’une sortie du moule du collège unique en séparant une École du Socle, commune jusqu’à 14 ans et une École de la Détermination, offrant une orientation et une spécialisation progressives jusqu’à 18 ans, incluant l’apprentissage et l’alternance.
La logique des zonages (ZEP) sera abandonnée et remplacée par un droit personnalisé à l’enseignement prioritaire pour aider les élèves qui en ont besoin, en fonction de critères sociaux ou scolaires.
En dehors de l’école, un soutien scolaire sera mis en place dans les banlieues ou communes défavorisées dans le cadre du service citoyen.
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La garantie d’acces à une santé de qualité et de proximité
La santé devra être accessible à tous, en rétablissant une chaîne de soins cohérente, face au risque d’une médecine à deux vitesses. L’hôpital public décentralisé devra avoir un ancrage territorial plus fort avec trois niveaux.
Le centre hospitalier pour les soins les plus importants et les moyens de recherche. Les centres hospitaliers de proximité pour les soins courants et en ambulatoire. Des dispensaires ou maisons de santé, adossés aux pharmacies dans toutes les communes où c’est nécessaire, pour assurer une présence de personnels soignants, notamment dans le cadre du service citoyen, avec possibilité de recours à la télémédecine.
Dans les territoires déficitaires, l’installation de médecins libéraux sera favorisée par une modulation des exonérations de charge, ainsi que par l’exercice regroupé dans les Maisons de Santé Pluridisciplinaires.
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La garantie de la sécurité au quotidien
Pour assurer la tranquillité publique sur tout le territoire, il faut nouer avec les citoyens une nouvelle relation avec la police autour de 3 principes :
- Une nouvelle police municipale et métropolitaine, avec un recrutement national et une bonne répartition des effectifs entre villes pauvres et villes riches, assumera les fonctions de patrouille, de surveillance et d’interpellation avec une présence 7 jours sur 7 dans tous les quartiers. En partenariat étroit avec cette police, la police nationale se concentrera sur la répression judiciaire et le maintien de l’ordre.
- Pour lutter contre la grande criminalité, des Groupements d’Interventions Nationaux feront le lien entre les Groupements d’Interventions Régionaux et les Groupements d’Interventions Européens.
- Les actions de la police devront être ciblées sur la délinquance générale qui est la plus pénible au quotidien, avec une chaîne pénale sans interruption prévoyant une sanction répondant à toute transgression.
Source: République Solidaire
1 – La petite éducation et le petit enseignement commencent avec la mère, le père ensuite s’il est là de temps en temps. Un peu d’attention et d’affection.
2 – Puis viennent des frères et toutes les soeurs, des oncles et des cousins. Une grand -mère.
3- Puis vient l’école, les apprentissages, avec « son temps », la mode la culture les camarades les copains les quartiers les journaux le radio la TV..
4 – Puis vient le service national.
5 – Puis vient le travail (je laisse de côté toutes les amourettes, etc..)
Bref.. Cela s’appelle l’intégration à la société.
Qu’est-ce qui manque aujourd’hui, 1 ou 2, qu’est-ce que l’Etat ne fait pas, 3 ou 4 ou 5 ?
Les faits : No kids progresse partout dans les pays dits « riches », avec la richesse, la pauvreté apporte au moins le Futur des Hommes.
DDV : « … avec une chaîne pénale sans interruption prévoyant une sanction répondant à toute transgression ».
Le Travail-en-Panne, c’est d’une nuisance pour tout.
Le salaire à ne pas pouvoir aller le chercher, cela « infecte » tout.
Ce n’est pas très glorieux, mais le labeur est notre lot.
Sans labeur..