Dominique de Villepin était hier au Drugstore Publicis des Champs-Elysées où il a dédicacé « Seul le devoir nous rendra libres ».
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Seuls les parrainages rendront Villepin libre
Dominique de Villepin publie cette semaine, aux éditions du Cherche-Midi, un essai intitulé Seul le devoir nous rendra libres. Pas vraiment le livre-programme annoncé mais un résumé de sa pensée politique et de ses solutions pour relancer la France.
A aucun moment, dans le livre qu’il a publié cette semaine, Seul le devoir nous rendra libres, Dominique de Villepin ne s’imagine président de la République. Au détour d’une phrase, il évoque l’hypothèse d’être élu mais l’ambition personnelle n’est clairement pas l’objectif de cet essai d’une centaine de pages vite lues, vendu au prix modeste de 5 euros.
S’il se présente en préambule, l’auteur n’use que de quelques mots pour décrire sa jeunesse, son entrée en politique et ses références idéologiques. Au passage, il se défend de n’être que celui qui « a su gagner la confiance de Jacques Chirac et [d'avoir] fait la carrière qui allait avec ». Il assure ainsi que chaque étape de [sa] carrière fut identifiée dans [son] esprit à un combat ».
De l’effort, voilà la solution
Mais Seul le devoir nous rendra libres résume surtout la pensée politique de l’ancien Premier ministre. Évoquant la France, il déclare ainsi : « L’indépendance ne se promet pas, elle se mérite dans un combat de chaque instant, contre les oppressions, contre les tentations, contre les renoncements. » Une grande envolée gaulliste comme on en trouve toutes les deux pages.
Pour autant, le style n’étouffe pas les idées. En appelant à l’effort – « l’effort de tous », insiste-t-il à plusieurs reprises –, il brosse à grands traits un portrait de la France actuelle, en crise, et les solutions qui pourraient selon lui la redresser. « Mon combat, c’est de vous faire partager ma conviction que l’impuissance politique, économique et sociale de notre pays n’est pas une fatalité », martèle l’ancien Premier ministre.
Bayrou, l’homme des Trabant?
Entre deux constats, Dominique de Villepin accuse « la République des partis » d’avoir surendetté le pays et promeut « le dépassement des logiques partisanes ». Des déclarations qui le rapprochent de François Bayrou. Mais l’ancien Premier ministre n’oublie pas d’évoquer les différences fondamentales entre lui et le candidat du MoDem.
Et notamment sur le Made in France : « Nous devons apprendre à produire français plus encore qu’à produire en France (…) Il ne faut pas vouloir tout relocaliser à tout prix car nous pourrions le payer d’un grave déficit de compétitivité. » L’ancien Premier ministre évoque sur ce point le risque d’être « condamné à fabriquer des Trabant, ces célèbres voitures produites en Allemagne de l’Est, polluantes, peu sûres, peu fiables, et qui n’ont jamais été exportées nulle part. » François Bayrou comme nos voisins d’outre-Rhin apprécieront.
« La crise est la grande absente de la campagne (…) Aucun des programmes présidentiels ne fait des propositions à la hauteur de la refondation économique que tous avaient jugée nécessaire » en 2009, avance le fondateur de République solidaire. Une affirmation quelque peu présomptueuse, mais qui permet à Dominique de Villepin de se transformer en boîte à idées. En manque de parrainages, le candidat risque d’être absent de la course officielle à l’Elysée. Mais « le devoir » l’oblige à parler.
« Le chemin de notre devoir »
Son livre n’expose pas dans le détail son programme mais énumère les propositions qu’il estime indispensables à mettre en œuvre. Il défend dans un premier temps la mondialisation et la nécessité, pour la France, de se faire une place dans « les flux commerciaux » qui irriguent la planète. Et pour ce faire, le seul moyen consiste à miser sur la qualité, et non plus la quantité des produits français.
L’augmentation de l’impôt sur les sociétés, la restructuration de l’administration – qui passe, entre autres, par la création de huit grandes régions et la mise en place d’un gouvernement de dix seuls ministres –, la mise en place d’une Agence nationale du développement économique, un Grenelle de l’Energie ou encore un impôt citoyen unique sont autant de « leviers » pour permettre d’ »entrer enfin dans le 21e siècle ».
Si Dominique de Villepin n’obtient pas les 500 signatures d’élus, lui permettant d’accéder à la prochaine étape de la campagne présidentielle, il aura au moins fait entendre sa voix. Elle n’a pas forcément porté dans les sondages, mais l’ancien Premier ministre n’aura aucun regret.
Source: Le Journal du Dimanche
DDV : « Seul le devoir nous rendra libres ».
Le devoir, en fait, c’est le Travail. La grande oeuvre. La peine et l’effort.
Mais, on ne peut plus dire ce mot. On l’a sali d’abord, et ensuite on l’a bien caché vers 1981.
Oui. On veut bien la Paie, une bonne si possible, mais pas la SUEUR qui va avec, ou les CONTRAINTES, etc.. On veut juste la fête de la musique tous les jours, plus.. le café.
DDV : « Seul le devoir nous rendra libres ».
Le devoir, ici en fait, c’est le Travail des Hommes Politiques de France.
Qui a bien travaillé de 2005 à 2007 ?
Et qui s’est reposé depuis 35 ans ?
Et enfin qui se repose ?
PS :
Un Premier Ministre incomparable, à RESULTATS et à BILAN, nous demande de signer ceci !
http://www.dominiquedevillepin.fr/parrainages/?sign=oui
Lui, il n’a pas répété « faillite, faillite, faillite ».. Lui, il a lutté contre.
Alors.. Signons, tous.
Et signons vite !
Si DDV n’obtient pas ses 500 signatures…………….. quelle stratégie vont adopter ses soutiens
pour l’élection présidentielle
- s’abstenir ou choisir un des candidats restant (sauf NS)
Pour quelles raisons aura t-il été autant maltraité durant cette campagne 2012 !!!
PEUR à l’Elysée de sa capacité à renverser la table , pourquoi pas ….
DDV est le seul candidat … (ne comptez pas Sarco) avec parfaite l’expérience politique internationale et nationale! Il est un homme honnête et sincère, loyal et dévoué à son pays … alors pourquoi, il a de la difficulté à obtenir un soutien du peuple de France?
Ses ennemis politiques, tentent de le bloquer… ils savent bien que DDV est vrai l’homme de l’Etat avec des qualités humaines uniques! il est le meilleur personne, que nous pouvions espérer en tant que président de notre pays.
Nous avons besoin de gens comme DDV pour changer la FRANCE et le MONDE. Avec l’homme comme DDV France aura un nouveau rôle à jouer dans l’avenir de nous tous!
Dorota K.
JE ne crois pas qu’il faut s’abstenir, mais voter tout sauf NS. SI on veut empécher DDV d’ètre candidat, c’est qu’il dérange forcément, et en plus on lui pique ses idéés !
Vendredi soir chez DENISOT: ils ont passé un sondage, peut-ètre le vrai ou DDV n’est plus a 1% mais a 6% !
Les élus de ce pays devraient avoir honte, c’est sur, DDV est plus dangereux que CHEMINADE et MME ARTAUD. MAIS attendons le 16, aurons nous une bonne nouvelle? je le souhaite!
LES dernières déclarations de la première dame de françe sont d’un niveau consternant! prétendre qu’ils vivent modestement: il y a vraiment des coups de pieds au c……..qui se perdent!!
Villpinte :
Faste , fric et mensonges d’un médiocre pour défendre un bilan lourd de conséquences pour la France. Un homme qui aime le pouvoir pour lui et ses amis, un homme qui a fait un tort considérable à la France en cinq ans : communautarisme, insécurité, Industrie et commerce ravagés, chômage au plus haut, six cents milliards de dette . Que peut il apporter en plus à la France il n’a pas d’idée, il les prend à De Villepin; pâle copie?
Villepin:
Un bilan élogieux , réduction de la dette, réduction du chômage, excellente image de la France dans le monde, discours à l’ONU contre les guerres préventives. Aujourd’hui c’est lui qui apporte les meilleures idées pour redonner à la France sa place dans le monde globalisé, c’est lui qui est copié par ceux que la médiacratie met en tête des sondage. C’est aussi lui l’homme à abattre, bloqué par les mots d’ordre des deux leaders pour avoir ses parrainages.
Si, si si..
Si DDV ne se présente pas, c’est qu’il n’aura que 499 signatures maximum.
Donc.. alors, il nous dira pour qui il vote. Et nous serons libres de l’imiter.
Une chose est sûre, ce ne sera pas Sarkozy, le battu d’avance.
Battu. Avec toute l’umpé en déroute ensuite et pour sauver cette dernière, Jupé n’y suffira pas, ni Copé, ni Raffarin, ni un Borloo ou un frédéric Mitterrand, etc.. Il faudra changer de nom, et trouver un homme « neuf ». Un grand, un fort, un costaud des reins.
J’en connais bien un.. Dominique de Villepin. « Seul le devoir nous rendra libres ».
Quant à l’Argent, pour l’autre, il en fera. C’est son rêve un beau yacht et des dîners en ville. Il ne manquera jamais à aucun devoir pour lui-même car il ne sait pas ce mot.
Le devoir, il comporte un sens moral. C’est une tâche, une obligation , une charge prescrite par la morale, la justice et les convenances.
Cinq ans, sans..
On ne va pas encore attendre cinq ans !
Pour l’instant, de fait, nous en sommes là :
–> http://www.dominiquedevillepin.fr/parrainages/
Espérons une bonne nouvelle.. un petit tsunami.. et juste de quelques maires de France !
Une toute petite prise de conscience.