Dominique de Villepin était, ce mardi, l’invité de Jean-Jacques Bourdin sur RMC et BFM TV.
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Villepin : plan « trop court », il aurait fallu 20 milliards
L’ancien Premier ministre Dominique de Villepin a jugé mardi que le plan de rigueur français était « trop court », prônant des efforts « d’une tout autre ampleur », de l’ordre de 20 milliards d’euros.
Sur BFMTV-RMC, le fondateur du parti République Solidaire a estimé que le nouveau plan Fillon était « nécessaire, mais il risque lui aussi d’être insuffisant », comme celui dévoilé en août. « Le gouvernement a de fortes chances de devoir revenir vers les Français pour un troisième plan, et peut-être un quatrième ».
« Nous bouclons des plans trop courts parce que nous n’avons pas une claire vision de ce que nous voulons », selon l’ancien chef de gouvernement de Jacques Chirac.
Il prône « le sursaut national » avec « une mobilisation générale : en période de crise comme en période de guerre, je crois à l’union nationale ».
Et ce « sursaut national » appelle « un plan d’une tout autre ampleur, d’au moins 20 milliards », avec « une perspective très forte de baisse de la dépense pour les prochaines années », selon M. de Villepin.
« Nous devons être plus ambitieux, il y a un effort gigantesque à faire », a-t-il dit. « L’objectif, ce n’est pas de survivre dans la crise, c’est de sortir de la crise ».
« Malheureusement, au début de ce quinquennat, on a littéralement fait exploser les déficits », a-t-il accusé au passage, alors que « mon gouvernement, entre 2005 et 2007, a diminué la dette de 50 milliards, 2,5 points ».
Source: Agence France Presse
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Villepin: «Ce plan risque d’être insuffisant»
Invité ce mardi de Bourdin 2012 sur RMC et BFMTV, Dominique de Villepin dit craindre que le plan d’austérité présenté la veille par le gouvernement ne soit pas suffisant. Le président de République solidaire appelle à un «sursaut national».
Pour l’ancien premier ministre, « si aujourd’hui nous sommes obligés de faire un deuxième plan, c’est que le premier plan était trop court compte tenu des perspectives de croissance et des exigences de bouclage du budget 2012. Mais à la vérité, ce plan risque lui aussi d’être insuffisant ».
«Un sursaut national»
« Et le gouvernement a de fortes chances de devoir revenir vers les Français au début de l’année pour un troisième plan, et puis peut-être un quatrième. Nous faisons un peu à l’image de l’Europe, c’est à dire que nous bouclons des plans trop courts. Pourquoi ? Parce que nous n’avons pas une claire vision de ce que nous voulons ».
Dominique de Villepin réclame ainsi un « sursaut national, ce qui implique des mesures et un plan de toute autre ampleur (…). Je pense qu’un plan d’au moins 20 milliards est nécessaire (…) pour sortir de la situation où nous sommes ».
Source: RMC
Pourquoi se re-fatiguer à écrire ce que l’on a déjà écrit ? Là, c’est écrit, c’est ben dit.
- Un total = 1600 Milliards d’euro (pas de Franc, non..) d’EURO de Dette en 30 ans.
DDV ne se lassera jamais :
« .. plan de rigueur français.. trop court.. nous n’avons pas une claire vision.. sursaut national.. une mobilisation générale.. un plan d’une tout autre ampleur.. il y a un effort gigantesque à faire.. on a littéralement fait exploser les déficits.. mon gouvernement, entre 2005 et 2007, a diminué la dette de 50 milliards, 2,5 points.. »
Bon, une entente nationale, d’accord. Je n’y crois guère.
Mais sans Sarkozy.
Ni fn, ni Mélanchon. Tous trop partisans d’eux-mêmes.
Dans un moment de crise, il est fondamental de savoir ce que l’on veut, et donc d’en avoir « une vision claire ». Peu de responsables politique ont cette vision à long terme et cette fermeté.
Une Vision, oui.
GESTION / CONTROLE / REFORMES / ADAPTATION / COMPETITIVITE / ECONOMIES DE L’ETAT / REFORMES / FERMETURE DU SENAT / REPRISE EN MAIN DES BANQUES / REPRISE EN MAIN DES GRANDS GROUPES / EMPLOI / REFORMES / INVESTISSEMENTS / PROJETS / COMMERCE / AGRICULTURE / TOURISME / REFORMES / EMPLOI / EMPLOI / EMPLOI / REFORMES, etc……………
Donc tout ceci.. plus cela.. que j’ai oublié.
Avec : Un Chef de l’Etat,
ici en France.
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Et notre INDUSTRIE, notre industrie presque morte, notre commerce industriel défait.
IMPORTATIONS. Nous importons, nous importons, nous importons trop.
(et nous avons perdu combien d’emplois ? Qui n’a pas réduit les charges sur le Travail ?)